AccueilAccueil  CalendrierCalendrier  Dernières imagesDernières images  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
l'histoire du forum Comme sur chaque forum, nous voulons vous parler de la création du forum, alors voici les informations importantes. 14.03.2020 début de la construction du forum par Spellman, Lou et installation du design d'ouverture. 15.03.2020 arrivée de Sheepirl, Matti au sein du staff. 18.03.2020 ouverture officielle du forum, bienvenue à vous dans l'aventure, faites comme chez vous et surtout, amusez-vous bien. 27.03.2020 arrivée de Portgas, Léa au sein du staff.09.05.2020 installation de la troisième version, réalisée par Poppies.

Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez
 

 'till death do us part. (ft. gino)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Zola Zimmerman
Zola Zimmerman
home sweet home
date d'emménagement : 19/03/2020
messages envoyés : 101
pseudo/prénom : millennium falcon.
faceclaim : queen lavi (whovian. pour l'avatar & soldiers eyes pour la signature)
multinicks : roxi (adria arjona)

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyDim 22 Mar - 15:59

'till death do us part. (ft. gino) Tumblr_inline_psqp88j86v1uiedo7_540
'till death do us part // it's supposed to be
 you and me against the world, 
right ? -- @gino zimmerman

il avait pas l’droit d’faire ça. il avait pas le droit de lui donner accès à ce dossier car c’était un conflit d’intérêt. mais il avait été clair : si il l’oubliait sur un bureau “accidentellement” c’était une chose. si zee se faisait prendre en le consultant, s’en était une autre. dans tous les cas, il avait prétendu, l’oublier, par accident, permettant ainsi à zola de tomber dessus. et elle se retrouvait là, devant, incapable de savoir ce qu’elle devait faire. une partie d’elle avait envie de chercher la vérité, l’autre, elle voulait croire gino. sauf qu’elle savait, elle le sentait, que c’était pas qu’un simple malaise comme il le prétendait. elle sentait, jusqu’au plus profond d’son âme, qu’il lui cachait quelque chose. c’était bien un truc entre jumeaux ca non ? le fait de savoir, d’avoir une sorte de sixième sens sur l’autre permettant d’anticiper. tout est calme et silencieux autour d’elle tandis qu’elle laisse ses doigts tirer sur la pochette opaque avec un nom dessus. giovanni zimmerman. elle se mord la lèvre, elle sait qu’elle devrait pas, que ca peut influencer son travail. et pourtant, elle prend son courage à deux mains, elle l’ouvre, tirant alors sur les diverses feuilles qui composent ce dossier. elle commence par regarder divers résultats et bien rapidement, elle remarque un taux de globule blanc particulièrement anormale. y à son coeur qui loupe un battement, parce qu’elle sait c’que ça veut dire zola. elle travaille dans cet hôpital depuis assez longtemps pour savoir que c’est jamais bon. 
elle continue de laisser ses yeux glisser sur les résultats d’une longue batterie d’examen. du négatif, partout. pendant un cours instant, ca lui réchauffe le coeur, elle se dit que c’est peut-être trois fois rien, jusqu’à ce que ses yeux arrivent à la dernière ligne et que les deux mots ecris lui déchirent les entrailles. 
“leucémie : positif.” 

son coeur loupe un battement et elle lâche cette feuille qui tombe sur le bureau. elle recule rapidement, violemment jusqu’à heurter le mur tandis que sa respiration se saccade. elle va jusqu’à se laisser glisser contre le mur, tremblant, incapable de pleurer tandis qu’elle est secoué de spasmes. et elle reste comme ca de longues heures. son téléphone sonne, elle ne réponds pas. elle ne réagit pas. elle reste, jusqu’à ce que l’heure de fin de son service soit passée.  y a les larmes, qui se sont mises à couler, sans qu’elle ne contrôle rien. ses joues sont noircies par les traînées de maquillage tandis qu’elle tremble encore, ses jambes repliées contre elle. elle est dans l’deni. simplement. 

“zee.” elle sort enfin d’ses pensées, sursautant presque. elle le voit, en face d’elle. il à cet air désolé, l’air que tous les médecins ont quand ils annoncent aux proches ou aux patients une maladie. mais là, c’est différent. parce que c’est zee, et que zee et lui, c’est spécial qu’ils ont. “c’est pour ca que je voulais pas que tu le regardes.” elle tente de reprendre sa respiration et elle sent les spasmes qui manquent de remonter. il se veut rassurant dans ses mots, il promet d’prendre le dossier lui même. après tout, c’est leur putain de service. et il excelle. elle lui fait confiance. sur un point de vue professionnel, elle lui confierait sa vie. il la sert dans ses bras, geste de tendresse dont il fait preuve uniquement dans l’intimite. “rentre chez toi et prends ton jours off demain.” il lui embrasse le front et zee elle ravale ses larmes, comme elle le peut. 

les minutes passent et elle arrive enfin devant chez elle. il commence presque à se faire tard. elle passé le pas d’la porte et regarde autour d’elle. aucune trace de qui que ce soit. elle laisse son sac tomber au sol, elle retire ses converses et elle avance, doucement dans cet appartement jusqu’à cette chambre. elle hésite, puis elle tape. une fois, deux fois, trois fois. elle attend même pas l’autorisation, elle rentre, elle s’en fou. ses joues sont encore noircies par le maquillage qui a coulé, son visage creusé par la fatigue. et elle referme la porte derrière elle, porte contre laquelle elle s’appuie, le regard dans l’vide. elle sait même pas par ou commencer. “t’as rien à m’dire?” qu’elle lâche soudainement d’un air froid et distant. parce que putain, elle lui en veut d’lui avoir caché une telle information.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyDim 22 Mar - 23:07


'till death do us part.
Soirée de repos. Sans travail. Il allait en profiter pour se reposer. Il aimait le travail de nuit. Cela lui permettait de contrôler ses insomnies. Lorsqu’il faisait jour, il allait se coucher. Les souvenirs et les monstres de son passé s’éloignaient avec les rayons du soleil. Ce n’était qu’une excuse. Il savait très bien qu’il détestait la nuit. Souvenir de ses longues nuits à entendre les bombes au loin. Le jour, il avait le contrôle. Pourtant ce soir, il ne travaillait pas… Il savait déjà que la nuit serait longue. Son corps était fatigué, mais son esprit était en alerte. Pourtant, il aurait dû être au bout du rouleau. Ce petit tour imprévu à l’hôpital, l’avait mis KO. Il savait que cela pourrait arriver. Plus, il attendait, plus son corps luttait pour rester en vie. Le peu de cellules qu’il lui restait luttait déjà contre toutes les cochonneries qui passaient, mais elle ne pouvait rien contre la fatigue, les malaises…. Elles ne pouvaient pas jouer sur tous les fronts. Et il le savait. Mais, il avait accepté son sort. Il n’avait pas peur de la mort. Il l’attendait comme une vielle amie, qu’il serait prêt à suivre. Il faut avouer que l’ancien militaire avait déjà vu la mort de prêt. Plusieurs de ses frères d’armes avaient disparu. Mort au combat. Comme il aurait dû mourir. Cette putain de maladie choisissait encore pour lui. Enfin essayer ! Car c’était lui qui choisissait de ne pas se battre. Lui qui prenait le reste de sa vie en mains.

Ce soir, il était seul. Dommage, il aurait bien voulu voir sa colocataire Jasmine. Cette fille était une boule d’énergie. Elle avait aussi le don d’essayer de le draguer toutes les trente secondes. Il n’aurait pas été contre de passer un petit moment avec sa jumelle. Il la voyait peu, mais il savait à quel point son job était important. Au fond, c’était mieux ainsi. Il n’aimait pas être obligé de lui mentir. Moins, il la voyait, moins il se sentait coupable. Le beau brun savait qu’elle lui en voudrait lorsqu’il mourrait, mais c’était mieux que de la voir souffrir pendant des mois. Il n’avait pas besoin de ça, ni elle. Il suffisait de voir comment, elle s’était dépêché de venir le retrouver aux urgences. L’inquiétude se lisait sur son visage. Il savait qu’elle ne le croyait pas, mais, elle n’avait pas le droit de lire son dossier. Elle n’était pas son médecin. Il avait gagné quelques mois. Bon, en échange de son silence, son médecin lui avait promettre de prendre des médicaments, et un petit suivi. Pas obligé de faire la chimio. Pas obligé de subir la greffe de moelle osseuse. Il avala donc ses médicaments lorsqu’il entendit du bruit. Merde. D’un rapide coup de main, il fit disparaître la boite, au moment, où la porte s’ouvrit sur Zola. « Eh heureusement que j’étais pas en pleine séance de branlette… ça aurait été bizarre. » dit-il en rigolant. Il n’y avait qu’avec Zola qu’il était toujours le même homme. L’adolescent insouciant et taquin. Pourtant, il se rendit rapidement compte qu’elle avait pleuré. Sans doute un patient mort. Lorsqu’elle lui posa la question, il était à mille lieux de se douter qu’elle avait tout compris. « Heu… Que tu es très jolie aujourd’hui... » Mon dieu, c’était parfois difficile de comprendre les femmes. D’un geste, il l’invita à venir s’installer sur le lit. « Dure journée ? »

code by bat'phanie
Revenir en haut Aller en bas
Zola Zimmerman
Zola Zimmerman
home sweet home
date d'emménagement : 19/03/2020
messages envoyés : 101
pseudo/prénom : millennium falcon.
faceclaim : queen lavi (whovian. pour l'avatar & soldiers eyes pour la signature)
multinicks : roxi (adria arjona)

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyLun 23 Mar - 7:13

'till death do us part. (ft. gino) Tumblr_inline_psqp88j86v1uiedo7_540
'till death do us part // it's supposed to be
 you and me against the world, 
right ? -- @gino zimmerman

elle est pas d’humeur zola. et ca s’voit, avec cette manière qu’elle à d’se comporter. elle qui est si joviale d’ordinaire, qui voit toujours le verre à moitié pleins. zola, c’est pour ca qu’elle tient dans ce job, car elle a toute les qualités requises pour être un bon médecin, pour réussir. elle est intelligente, déterminée et elle fait passer la vie d’ses patients en priorité. pourtant, là, elle ne sort pas un seul sourire. elle est pas d’humeur à rire, et rien ne peut la faire changer d’avis. rien que d’le voir là, devant elle, elle a envie d’pleurer. elle à envie d’fondre en larme tandis qu’elle ne peut pas s’empêcher de revoir cette feuille, cette phrase, ce diagnostic grave dans son esprit. elle ne réagit pas, quand il lui dit qu’elle est jolie alors que zola, ca fait toujours du bien à entendre vu comment elle s’est toujours sentie moins que rien avec leur père qui lui rappelait sans arrêt qu’elle n’était pas aussi mince qu’alix. qu’elle mangeait trop. qu’elle ne plairait jamais. résultat d’une boulimie constante depuis l’adolescence, comme une âme qu’elle avait vendue au diable pour quelques kilos en moins. elle les avait ses kilos en moins, elle rentrait dans ses jeans taille 36. mais à quel prix ? celui d’finir là tête au dessus des toilettes tout les jours, elle se forçait même plus. son organisme s’en chargeait tout seul. alors forcément, quand un homme lui disait qu’elle était jolie, ca lui faisait du bien. quand son frère lui disait qu’elle était jolie, ça la rassurait. mais pas ce soir.

“ca tu l’as dis.” qu’elle dit tandis qu’elle reste debout, les bras croisés, le regard fermé. ouais, la journée avait été dure, mais chaque journée était toujours dur. de nouveaux patients, de nouvelles interventions, dès urgences. c’était la dernière ligne droite, l’ultime avant qu’elle obtienne son diplôme. la dernière avant qu’elle devienne enfin résidente et qu’elle entraîne à son tours les nouveaux internes. qu’elle exerce enfin officiellement comme Docteur Zimmerman. alors elle se donnait d’autant plus, sauf que ca ne semblait jamais suffisant.

alors ils restent là, comme deux cons, incapable de dire quoi que ce soit. elle attend zola, sauf qu’il semble pas déterminé à balancer l’morceau. alors elle va l’faire, tant pis. “je sais tout.” qu’elle se contente de dire, toujours aussi froidement. elle sait qu’il comprendra, que ca sert à rien d’nier. elle sent même sa gorge qui se serre aux pensées d’savoir que c’est réel. c’est concret, ça prend vie, là, devant elle. “tu comptais me le dire un jour ? ou tu voulais attendre de bouffer les piscenlits par la racine pour que j’le decouvre?” qu’elle demande simplement. elle est énervée, ca s’voit, ça s’sent. bordel, qu’est ce qu’elle lui en veut. “ca fait combien d’temps que tu sais?”

Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyLun 23 Mar - 14:30


'till death do us part.
Il n’était pas dupe. Il voyait bien qu’il y avait un problème. Zola était une femme pleine d’énergie. Une pile électrique. Un rayon de soleil dans le brouillard. Et puis, elle ne savait pas cacher ses émotions. Il sentait la peur, la tristesse, la colère dans ses yeux. Des millions de sentiments négatifs se mélangeaient en elle. En générale, c’était la petite brune qui réconfortait son frère. Qui avait les mots justes. Tout l’inverse de Gino. Il disait ce qui lui passait par la tête. Sans tourner sept fois sa langue dans sa bouche. Elle était plus mature sans doute. En même les femmes l’étaient toute. Pourtant, il devait marcher sur des œufs ce soir. L’obliger à se confier. Pour une fois, il devait avoir le rôle du grand-frère. Alors après une petite blague, il prit son sérieux et l’invita à venir à côté de lui. Pourtant, elle ne bougea pas. Resta près de la porte, les bras croisés. Cela devait être plus grave, qu’il ne le pensait. Il avait beau se faire des dizaines de films, il était loin de savoir de quoi elle parlait. Même lorsqu’elle lui confia savoir tout. Tout quoi ? C’était un peu trop vague. Il faillit même lui dire mais elle ouvrit la bouche de nouveau. Ses mots résonnants comme un coup de poignard. Putain de merde. Qui lui avait dit ? Sans doute personne. D’une manière ou d’une autre, elle avait eu accès à son dossier. Putain. Lorsqu’elle prononça sa dernière phrase, il se redressa. Sortant de sous son oreiller, la boite de médocs qu’il avait caché, la rangeant dans sa table de chevet. Inspirant un bon coup, il cracha son venin. « Tu sais ce que tu risques pour avoir regardé le dossier d’un patient qui n’est pas le tien ? Putain mais tu pensais à quoi ? » Sa voix était bien plus dur qu’il ne le voulait. Il aurait voulu être plus gentil. Plus doux. Pourtant, la colère montait en lui. Elle n’avait pas le droit de faire ça. C’était son choix, sa vie. « Tu sais pourquoi, j’ai rien dit ni à maman, ni à Alix et encore moins à toi ? » Il fit une pause même si c’était une question rhétorique. Donner un ton plus dramatique à la conversation. « Parce que je voulais pas voir la pitié ni la tristesse dans vos yeux. » Si jusque là, il était resté coucher sur le lit, il se leva. Même si son corps était fatigué, il était bien trop sur les nerfs. « C’était mon choix. T’avais pas le droit de fouiller. T’avais pas le droit de prendre ça aussi. » Heureusement, qu’ils étaient seuls dans l’appartement car il s’était mis à crier. « Dis-moi, ça t’avance à quoi de savoir que je vais bientôt crever ? » C’était méchant et gratuit.
code by bat'phanie
Revenir en haut Aller en bas
Zola Zimmerman
Zola Zimmerman
home sweet home
date d'emménagement : 19/03/2020
messages envoyés : 101
pseudo/prénom : millennium falcon.
faceclaim : queen lavi (whovian. pour l'avatar & soldiers eyes pour la signature)
multinicks : roxi (adria arjona)

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyLun 23 Mar - 19:18

'till death do us part. (ft. gino) Tumblr_inline_psqp88j86v1uiedo7_540
'till death do us part // it's supposed to be
 you and me against the world, 
right ? -- @gino zimmerman

elle rit. un rire jaune. un rire qui veut tout dire quant à ses pensées sur la situation. “alors maintenant c’est ma faute ?” qu’elle dit en haussant la voix. “mais bordel gino, tu t’attendais à quoi ? tu croyais que j’allais vraiment rester là a rien faire alors que je savais pertinemment que tu me mentais?” qu’elle demande avant de commencer à faire les cents pas dans sa chambre. “premièrement, si tu veut me mentir, apprend à le faire. parce que t’es définitivement pas bon à ca.” qu’elle lui crache simplement à la figure. “et deuxièmement, que j’ai fouine ou pas ca change pas le fait qu’à un moment ou à un autre j’aurais fini par l’apprendre.” qu’elle lui déclare simplement. c’était évident. carmel était une petite ville, les rumeurs couraient vite. la preuve, tout le monde avait des doutes quant à la relation qu’entretenait zola avec son chef de chirurgie alors qu’elle estimait qu’ils avaient été discret.

“La pitié? mais t’es sérieux?” elle a presque envie d’s’arracher les cheveux, elle veut lui balancer le mobilier dessus, il est en train d’la faire halluciner. “giovanni, c’est mon putain de job! j’ai passé le stade de la pitié ou d’la tristesse depuis bien longtemps et tu sais pourquoi ? parce que si je pleurais à chaque fois que je perds un patient ou que j’annonce une mauvaise nouvelle alors j’aurais absolument plus d'eau dans mon corps! “ et c’était véridique. que son frère soit touché était une chose qui l’affectait mais son job lui avait appris à gérer la situation de la meilleure des manières qu’il soit. forcément. et ses choix de carrière n’avaient jamais été aussi bénéfique que maintenant.
puis elle lève les yeux avec ces remarques. “arrête un peu d'être une drama queen gio! si tu voulais pas que je sois au courant alors soit intelligent et viens pas dans mon putain d'hôpital! et encore moins dans mon putain de service!” parce que les gens semblaient oublier que la neuro touchait à tout ce qui concerne le système nerveux. c’est ce qui rendait ce domaine d’autant plus complexe car il y avait tellement de chose inconnues, tellement de risque, dès que l’on touchait à une tumeur, qu’on en retirait une, que certaines aptitudes soient impactés, la motricité mais c’était également tout ce qui touchait à ce genre d’intervention. greffe de moelle osseuse était le genre de chose qu’elle savait parfaitement faire et qu’elle pouvait faire les yeux fermés sans aucunes supervision.

puis elle balaie la tête de gauche à droite. c’est hallucinant. il la fait halluciner et pourtant elle se calme. elle ferme les yeux prends une grande inspiration. “tu vas pas mourir.” qu’elle dit simplement, comprenant pas qu’il refuse de s’faire soigner. “tout ce dont t’as besoin c’est d’un donneur. easy. je prends ma journée et je ferais les tests de compatibilité demain. on a pratiquement les mêmes gènes, donc je doute absolument pas quant aux résultats.” qui de mieux placer que zola ? il s’agissait de trois fois rien, d’la moelle osseuse. elle irait jusqu’à lui donner son rein, son foie ou n’importe quoi d’autre. après tout gino restait la personne la plus importante de sa vie. “ensuite j’en parle au docteur heather. il est le seul en qui j’ai assez confiance pour ca et c’est l’meilleur dans le domaine. je suis certaine que j’arriverais à le convaincre de te prendre en patient. tout c’que je sais, je le lui dois. vraiment, je lui confierais ma vie si je devais.” et pour une fois, c’était pas ses sentiments à son égard qui parlait mais c’était du factuel. il était excellent et arriver un jour à son niveau serait un véritable honneur pour la brune. “c’est pas trop tard, t’es pas condamné. encore. si on s’y prend maintenant, on peut t’sauver.” optimiste la petite zola, au point qu’elle semble presque oublier à qui elle parlait.

Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyMar 24 Mar - 13:00


'till death do us part.
Et voilà, ça c’était Zola. Il fallait qu’elle ait raison. Retourner la conversation. Bordel, c’était elle qui avait fait une connerie. Elle qui avait les pieds là où elle n’aurait pas du. Et c’était de sa faute. Sérieusement. Il n’était pas un mec violent mais il devait se retenir de ne pas jeter la lampe de chevet à travers la chambre. « Non mais tu t’entends ? Si je voulais te mentir c’était mon choix. Et tu l’aurais appris quand j’en aurais décidé. C’était pas à toi de prendre cette décision. » Elle faisait les cent pas, mais lui se tenait bien droit. Autant s’économiser. Il aurait dû s’asseoir mais c’était comme si un démon avait pris possession de son corps et là seule façon de le contenir, c’était de se lever. D’être libre de ses mouvements. « Tu es allée fouiner là où t’aurais pas dû. T’as risqué ton job. Et c’est ma faute parce que je sais pas mentir ? T’es sérieuse ? » C’était un langage de sourd mais ça risquait de durer des heures et des heures. Mais, il était prêt. Elle voulait parler. Elle voulait délaisser sa peine et sa frustration, très bien, il était prêt mais il avait pris sa décision et rien de ce qu’elle dirait ni changera rien. « T’as pas confiance en moi. Voilà le problème. C’était mon choix de ne rien dire et tu me l’a enlevé. » Et voilà qu’elle recommençait à hurler. Des phrases qui n’avaient aucun sens même elle le savait. Elle tentait de se justifier. De trouver un moyen de le convaincre. Il avait déjà tourné des centaines de fois la conversation dans sa tête. Il était prêt à tout. « Je crois que c’était moi le menteur dans l’histoire ? Tu sais pourquoi on n'autorise pas les médecins à soigner leur famille ? Parce qu’ils sont incapables de faire la part des choses… Regarde à la vitesse où tu es venue me rejoindre quand ton pote t’a averti. Je suis pas un putain de patient… Je suis ton frère... » Drama queen. Sérieusement. Pff. Il la connaissait par coeur. Elle avait besoin d’évacuer. De dire ce qu’elle avait sur le coeur même si cela n’avait aucun sens. Ils n’en étaient pas à leur première dispute. Sans doute pas la dernière, si elle restait dans cette position-là. « Tu crois que j’ai eu le choix. Ouai après avoir fait un malaise et mettre cogner cogner la tête… presque inconscient, j’ai dit « emmenez moi à l’Hospital de ma sœur ! » Il faut que tu te calmes, tu racontes n’importe quoi là. » Pourtant, ce fut lui qui ne dit plus rien. L’écoutant. Il savait ce qu’elle allait dire. Il savait qu’elle allait voir faire le test pour la moelle osseuse. Une chance sur quatre dans la fratrie, c’est ce qu’on lui a dit. Alors avec une jumelle, les chances sont plus importantes, non ? Mais sa décision était prise. Pour l’instant, il lui restait encore quelques cellules pour se défendre mais bientôt, il n’aurait plus rien. Un rhume pourrait le tuer. Mais, il avait choisi. Et rien ne pourrait y changer. Ni les larmes. Ni les disputes. « STOP. » dit-il pour l’interrompre. Sinon bientôt, elle allait lui parler des chances de survie, de la bataille. Lui dire qu’elle serait là. « Zola, écoute bien ce que je vais te dire. Je ne vais pas me battre. » Il avait articulé chaque mot. Avait insisté sur la négation. « Je sais déjà tout ça. J’ai cette merde depuis toujours et on a jamais rien su. Maintenant mes chances sont seulement de 15 % avec la greffe… Je veux profiter des moments qu’ils me restent. Sans chimio. Sans chambre stérile. Sans médicament. » Il avait prononcé sa dernière tirade sans colère. Juste simplement..
code by bat'phanie
Revenir en haut Aller en bas
Zola Zimmerman
Zola Zimmerman
home sweet home
date d'emménagement : 19/03/2020
messages envoyés : 101
pseudo/prénom : millennium falcon.
faceclaim : queen lavi (whovian. pour l'avatar & soldiers eyes pour la signature)
multinicks : roxi (adria arjona)

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyMar 24 Mar - 17:54

'till death do us part. (ft. gino) Tumblr_inline_psqp88j86v1uiedo7_540
'till death do us part // it's supposed to be
 you and me against the world, 
right ? -- @gino zimmerman

la mauvaise foi dont il faisait preuve rendait là brune totalement dingue. elle voulait lui foutre deux baffes, le secouer, faire quelque chose qui lui permettrait d’se reveiller une bonne fois pour toute. elle avait l’impression de rêver, même ses pires patients n’étaient pas aussi têtue. “arrête de dire que j’ai risque mon job puisque ce n’est absolument pas le cas!” qu’elle se met à dire en hurlant presque. en soit si. mais elle avait aussi l’avantage de coucher avec son boss, alors même si oui, elle risquait probablement son poste, elle avait espoir qu’il la protégerait, en un sens.

et il retourne tout. avec lui, tout prends des proportions inimaginable. c’est en train d’la rendre dingue zola, elle est en train de s'énerver et pourtant, elle tente de s’controler. vraiment. elle mets ses deux mains devant son visage, dans l’ultime but de canaliser son énergie. elle ferme les yeux. et il renchérit, sur son job. personne ne l’avait énervée autant. personne ne pouvait aller aussi loin. son job était peut-être la seule qu’elle faisait bien, la seule chose dont elle était certaine. elle craque. y à son impulsivité qui prend le dessus et elle se retourne, allant jusqu’à enfoncer son poing dans le mur. le mur reste intact, mais là douleur qui se fait instantanément ressentir et le craquement qui s’est fait entendre à l’instant où son poing est entrée en contact avec le mur lui signale qu’elle vient de faire une erreur. une erreur qui va lui coûter cher, puisque si elle n’a pas ses deux mains, elle ne peut pas opérer. “arrête de tenter de m’apprendre mon putain de job.” qu’elle dit tandis qu’elle n’a pas bouger son poing. les larmes commencent à monter, mais cette fois-ci, à cause de la douleur. elle ramène sa main contre elle en fronçant les sourcils et secoue celle-ci. elle regrette son geste tandis qu’elle ne prends même plus là peine de l’écouter. elle veut plus rien entendre.

alors elle sort de la sa chambre et elle claque la porte derrière elle. elle veut plus rien entendre, elle veut plus entendre ses putains de connerie. alors elle arrive dans la cuisine, elle sort un sac de légume surgelé qu’elle s’empresse d’enrouler autour de sa main. elle tremble, et ses phalanges sont déjà rouge. elle veut pleurer, parce qu’elle gère tellement d’choses dans sa vie. c’est tellement le bordel. leo, ses problèmes de bouffe et maintenant ca. “fait chier.” qu’elle jure en gardant un oeil sur sa main tandis qu’elle essuie d’un revers de mains les larmes qui coulent sur ses joues.

Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyMer 25 Mar - 23:09


'till death do us part.
La conversation avait pris une mauvaise direction. Trop de cries ne mèneraient à rien. Mais c’étaient eux. Monter au créneau mais redescendre aussi vite. Enfin là, cela semblait vraiment compliqué. Zola ne lâcherait rien, et il ne pouvait lui en vouloir. Sans doute que si les rôles avaient été inversé, il l’aurait mené par la peau du cul pour qu’elle se fasse soigner. D’une certaine manière, c’était vraiment hypocrite, mais il avait pris sa décision et rien ne pourrait le faire changer d’avis. Il ne voulait pas de chimio, ni de greffe. C’était encore plus dur pour elle de l’accepter maintenant qu’elle était médecin. Se dire qu’elle pourrait tenter de le sauver… Que 15 %, c’était toujours mieux que zéro. Mais, il ne veut rien de tout ça. Il veut seulement vivre chaque jour comme le dernier. Profiter de sa mère. Apaiser les tensions avec Alix. Aider Zola avec ses problèmes. S’en aller en sachant qu’elle sera heureuse. Mais avant, il allait devoir affronter sa colère. Sa frustration. Pourtant, il ne s’attendait pas à ce qu’elle soit aussi en colère. Aussi violente. Il ne l’avait jamais vu comme ça. Lorsqu’elle se retourna et frappa dans le mur, il eut un mouvement de recul. Comme s’il avait peur. Comme s’il avait devant lui quelqu’un qu’il ne reconnaissait pas. Il avait entendu le craquement, mais pourtant il ne pouvait pas bouger. Comme pétrifier. C’était ça de voir sa vie lui échapper. Avoir l’impression d’être face à une inconnue. Il resta en retrait alors qu’elle sortit en claquant la porte. Son souffle était court. Soudain, il sentit un tremblement au niveau de ses jambes. Crier l’avait affaibli. Le médecin lui avait dit d’éviter toutes activités physiques intenses. Il ne pensait pas qu’une dispute allait le faire flancher. Qu’est-ce que ça serait lorsqu’il ferait de l’exercice avec une femme ? Prenant appuie sur le lit, il respira une fois. Deux fois. Merde, il n’allait pas laisser une maladie prendre le dessus. Chassant le malaise, il se dirigea vers la cuisine. Ses pas étaient lents. Il n’était pas encore très stable. Zola venait de mettre un sac de petits-pois… ou de carottes… Enfin peu importe. « Montre, je vais regarder... » Dans chaque unité, il y avait une personne qui avait eu une formation plus ou moins médicale. On était loin d’être médecin ou encore moins infirmier mais il savait administrer les premiers secours. Il souleva le sac et regarda la main. Elle était un peu rouge. Il bougea doucement ses doigts. Elle eut un peu mal mais tout semblait aller bien. « Tout va bien. Tu vas avoir un peu mal pendant quelques jours mais tu pourrais tirer avec une arme de précision... » dit-il avec un léger sourire. Bon c’était pas le bon moment. Il remit le sac sur sa main et fit un pas en arrière. S’adossant contre le plan de travail. « Je suis désolée Zola. Je sais que tu n’as pas envie d’entendre ce que je vais te dire. Mais, je ne vais pas me battre. Je me suis assez battu dans ma vie. D’abord contre papa, puis contre des terroristes et là, j’ai plus la force. Je veux juste profiter du temps qu’il me reste. Peut-être une semaine ou un mois ou même un an. Qui sait peut-être 10 ans… bon peut-être pas… Mais une chose est sûre je ne veux pas passer mes derniers moments à l’hôpital. Je veux pas perdre mes cheveux. Je veux pas perdre du poids. Je peux pas ressembler à ses cancéreux qu’on voit à la télé. Je veux juste t’aider et te voir heureuse… Je veux qu’Alix et moi, on arrive à s’entendre un peu plus… Je veux que maman profite de son fils en bonne santé… Je veux juste être moi-même, même si c’est pour peu de temps. » Après cette longue tirade, il ouvrit ses bras. « Allez viens, Zozo. »

code by bat'phanie
Revenir en haut Aller en bas
Zola Zimmerman
Zola Zimmerman
home sweet home
date d'emménagement : 19/03/2020
messages envoyés : 101
pseudo/prénom : millennium falcon.
faceclaim : queen lavi (whovian. pour l'avatar & soldiers eyes pour la signature)
multinicks : roxi (adria arjona)

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) EmptyJeu 26 Mar - 19:11

'till death do us part. (ft. gino) Tumblr_inline_psqp88j86v1uiedo7_540
'till death do us part // it's supposed to be
 you and me against the world, 
right ? -- @gino zimmerman

elle fixe sa main. leo allait la tuer, les autres internes allaient jubiler. une main en moins, pas d'opération, pas d'opération pour zola voulait dire dès places en plus au bloc et donc la principale cible abattu. elle peut l’ouvrir et la fermer, c’est déjà une bonne chose.
puis gino arrive, pour regarder. comme si elle avait besoin qu’il regarde. elle sait tres bien zola reconnaître un os brisé et là, sa main l’est pas. puisqu’elle peut au moins la bouger. probablement une fracture ou une connerie du genre. alors elle pouffe, quand il lui donne son diagnostic, un sourcil haussé. “merci gino.” qu’elle dit d’un ton des plus sarcastique qu’il soit. “t’as appris tout ca ou ? l'armée?” qu’elle continue. ouais, elle est énervée. parce qu’en plus d'être énervée contre lui, elle doit dire au revoir à ses scalpels pour les prochains jours. elle va devoir mentir, prétendre qu’elle se sent pas d’humeur à aller au bloc. parce que hors de question qu’elle avoue avoir  un problème tant qu’elle connait pas l'étendue des dégâts.  à cause de lui. parce qu’il joue avec ses limites. à croire qu’il fait exprès, d’se prendre pour un pro en médecine. “non, j’sais pas, peut-être que tu peux m’apprendre deux ou trois trucs, au cas ou mes huit ans de médecine aient servis à rien.” elle insiste. parce que zola, elle craque. elle craque, elle en a marre de toujours se taire. d'être là mignonne petite zola, celle qui passé toujours derrière alix car elle était pas assez mince et ou parce qu’elle prenait pas autant d’risque. ouais, évidemment, d'après papa, c’est zola qui a le job le moins à risque. alix et gino, les deux premiers, toujours mis en avant. et pas zola. “mange pas ca zola, t’as grossi zola. franchement zola, tu peux avoir un peu plus de considération pour ton frère et ta soeur. eux ils prennent des risques.” y a tout qui remontait, absolument tout. elle en avait marre. elle était énervée, énervée contre le monde, contre son père, même contre sa soeur alors qu’elle et alix s’entendaient super bien et qu’elle n’avait rien fait. elle était juste énervée, fatiguée des injustices.

“tu sais quoi ok.” qu’elle dit en levant ses deux mains, le paquet de surgeler tombant à même le sol. elle recule, simplement. il s’la joue moralisateur et elle supporte pas ca zola. elle supporte rien. une vraie bombe à retardement. vilain petit canard d’la fratrie zimmerman, y à que sa mère et sa soeur qui semblent lui porter  un minimum de considération. et elle en a marre. d’ordinaire, elle se serait pliée devant gino. elle aurait été celle se sentant coupable, mais pour une fois, c’était pas l’cas. pour une fois, elle envoyait balader tout ses principes et elle se levait, pour elle même. elle gueulait, elle ouvrait enfin sa putain de gueule puisqu’elle était fatiguée, d’se mordre la lèvre, d'être nerveuse. d’en perdre le sommeil. au moins elle balançait tout c’qu’elle avait. toute cette rancune accumulée et ca lui ferait du bien, probablement. “te fait pas soigner, mais arrête avec tes grands airs, arrête de t’la jouer moralisateur quand en fait t’es qu’un putain d’faible.” qu’elle lui crache, comme ca. parce que zola, elle peut le dire. si y a bien une personne qui sait c’que les patients traversent c’est elle. et personne d’autre dans sa famille n’a vu c’que elle, elle a vu. “t’as juste la trouille gino. tu fait genre t’es super fort, mais en fait tu t’chies dessus comme un gamin qui vient d’se faire frapper. parce que tu refuses de retrouver espoir si c’est pour qu’ca marche pas et qu’on annonce que tu vas crever.” qu’elle continue. peut-être qu’elle enfonce le clou, mais qu’est ce qu’elle peut faire d’autre ? “t’arrives même pas à là cheville des gens qui s’batte tout les jours pour s’en sortir.” elle récupère finalement son paquet de surgeler pour ouvrir les placard de nourriture. sans même s’en rendre compte. elle attrape le pot d’nutella, une cuillère. “va t’faire foutre avec ton câlin.” qu’elle dit avant de quitter la cuisine et d’se laisser tomber dans le canapé. elle veut rien entendre, alors elle allume la télévision tandis qu’elle plonge cette cuillère dans le pot. le vice qui revient, parce qu’elle sait comment ca va finir. dans une heure, la tête au d’ssus des toilettes, les doigts dans le fond de la gorge. un moyen d'extérioriser. la boulimie, qui frappe, comme à chaque fois depuis qu’elle a commencé en milieu d’adolescence.

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

'till death do us part. (ft. gino) Empty
MessageSujet: Re: 'till death do us part. (ft. gino)   'till death do us part. (ft. gino) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
'till death do us part. (ft. gino)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
don't you forget about me :: le hors jeu :: archives rp-
Sauter vers: