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l'histoire du forum Comme sur chaque forum, nous voulons vous parler de la création du forum, alors voici les informations importantes. 14.03.2020 début de la construction du forum par Spellman, Lou et installation du design d'ouverture. 15.03.2020 arrivée de Sheepirl, Matti au sein du staff. 18.03.2020 ouverture officielle du forum, bienvenue à vous dans l'aventure, faites comme chez vous et surtout, amusez-vous bien. 27.03.2020 arrivée de Portgas, Léa au sein du staff.09.05.2020 installation de la troisième version, réalisée par Poppies.

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 family is family in church or in prison — cece

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Theodore Aberman
Theodore Aberman
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MessageSujet: family is family in church or in prison — cece   family is family in church or in prison — cece EmptyLun 27 Avr - 14:04


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Il a finalement sombré vers quatre heure du matin alors il est trop tôt pour qu'il soit réveillé and happy about it. Pourtant, il fixe le plafond, le souffle court, les yeux grands ouverts, bel et bien conscient, loin des bras de Morphée, si capricieux ces derniers temps. Theodore a peiné pour enfin se reposer mais ce n'est pourtant pas une nouvelle crise d'insomnie, réplique de la première, qui l'empêche de se rendormir. Non, il est presque certain d'avoir entendu un bruit au rez-de-chaussée. A vrai dire, il est presque sûr que quelqu'un vient d'ouvrir la porte d'entrée. Il passe une main devant son visage, cherchant dans ses souvenirs une quelconque discussion avec une femme de ménage et puis il tourne la tête et ses yeux se posent sur le réveil qui trône au milieu de la table de nuit. Les chiffres écarlates indiquent qu'il est à peine six heures du matin, bien trop tôt pour un employé, quel qu'il soit. Il soupire avant de retenir son souffle, tendant l'oreille. Plus ça va, plus il est convaincu de ne pas être seul dans la baraque. Une chance qu'il soit sobre, ivre il aurait probablement pensé au fantôme de sa mère. Il chasse cette notion bien loin, préférant ne pas alimenter de cauchemars les quelques heures de sommeil qu'il parvient à grappiller ça et là et puis, doucement, à pas de loup, il quitte son lit, épaules tendues. Il enfile un jean et un t-shirt, rapidement, parce que s'il y a quelqu'un, s'il n'est pas en train de devenir fou, autant éviter de faire face à un cambrioleur en caleçon, il y a plus digne comme scénario. Il frotte son visage mais c'est inutile. La nuit trop courte est déjà loin, il est alerte, réveillé, pas de souci là-dessus.

En silence, il quitte sa chambre, descend le couloir et jette un oeil dans l'escalier. Personne. Pourtant il y a du bruit. Il descend quelques marches, serre les dents face à celle qui grince mais prend quand même le temps d'inspecter l'allée de la maison par la fenêtre de l'alcove à côté de lui. Malgré la pénombre d'un jour qui se lève à peine, il distingue une voiture et se souvient spécifiquement d'avoir rentré la sienne dans le garage, agacé par les traces que laissent les oiseaux sur la peinture. Il continue sa procession, arrive en bas des escaliers et attrape le plus discrètement possible une batte de baseball en aluminium, plantée au milieu d'un porte-parapluie qui prend la poussière faute de mauvais temps. Il avale la distance entre le vestibule et le salon, se sentant comme une mauvaise série à suspens et puis il tombe sur la confirmation. Non, il ne perd pas la tête, ce n'est pas un mauvais rêve ou sa fatigue qui lui joue des tours. Il n'est pas seul. Un peu plus loin, il y a une silhouette féminine. Sourcils froncés, il se dit qu'elle n'a pas vraiment l'air d'une cambrioleuse même s'il ne peut pas encore voir son visage. Peu importe, il arque ses bras, levant la batte au-dessus de son épaule dans geste similaire à ce qu'on a pu lui apprendre dans les vagues cours de tennis qu'il a pu prendre. « T'as dix secondes pour te barrer avant que je te refasse un genou » lance-t-il, sans sommation, essayant de sonner menaçant quand bien même c'est la première fois qu'il parle de voix haute depuis peut-être deux jours. « Les flics arrivent, de toute façon, c'est pas un squat ici... » ajoute-t-il, espérant que sa taille et ses cernes ajouteront à l'envie de déguerpir. Il est beaucoup trop tôt pour tout ça, définitivement.
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Cecilia Rosewood
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MessageSujet: Re: family is family in church or in prison — cece   family is family in church or in prison — cece EmptyLun 27 Avr - 17:18


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Voiture garée le long de l’allée, tu observes distraitement la façade de la maison qui se dresse devant toi s’éclaircir tandis que le soleil se lève doucement. Tout autour de toi, le silence rassurant de la rue déserte fait contraste au vacarme assourdissant de tes pensées. Tel un flot continu, ta voix intérieure paraît toujours aussi confuse qu’en quittant la résidence Rosewood sur un coup de tête cinq heures plus tôt. Un coup d’œil à ton reflet dans le rétro intérieur, ta mine est juste affreuse. Toujours affublée de la même robe qu’en t’enfuyant de la soirée, t’es si perturbée que tu n’as même pas songé à te changer. T’as passé la nuit à rouler, et maintenant à destination la fatigue physique comme mentale commence à se faire ressentir. Tu reposes ton crâne contre l’appuie-tête, tandis que les flashbacks de la soirée continuent de remonter à la surface de tes pensées, t’empêchant d’avoir un seul raisonnement sensé. Le film de la soirée défile en boucle dans ta tête, le sourire fier de ta mère, la marée de compliments de tes proches, lui qui pose un genou à terre… et ta gorge serrée, qui empêche les mots de sortir, tes jambes qui se coupent, l’instinct de survit qui te dit de t’échapper. Un claquement de doigt plus tard, t’es ici, la voix du GPS t’annonçant que t’es arrivée.
Sans y prêter attention, tu fais glisser machinalement entre tes doigts le jeu de clé que t’as embarqué dans la précipitation. Un sac de voyage remplit à la hâte sur l’épaule, t’avais tout de même pensé à faire un dernier crochet par le bureau de ton père avant de partir. Tu savais précisément où fouiller, et rapidement tu trouvais la clé dans le tiroir concerné. Papa avait toujours été un fana de l’immobilier, et Carmel-by-the-sea était la propriété la plus proche dont tu te rappelais avoir entendu parler. Tu prends une grande inspiration, et après un dernier coup d’œil par la vitre pour vérifier qu’aucune voiture n’était stationnée, tu sors de l’habitacle. D’une main, tu attrapes tes affaires sur le siège passager et tu claques la porte de la voiture.
Quelques foulées plus tard, tu te retrouves à pousser la porte d’entrée, et tu restes quelques secondes là, statique, à observer les lieux. A première vue la maison semblait inoccupée, et plutôt spacieuse comme lieu pour te ressourcer. Gardant ton sac à l’épaule, tu fais rapidement le tour des pièces t’entourant, histoire d’explorer ce qui allait maintenant te servir de foyer. C’était un sentiment étrange de te retrouver dans cette maison que tu n’avais vu qu’en photo. Ton père adorait cette maison et maintenant tu comprenais un peu mieux pourquoi. Passant la porte du salon, tu aperçois au loin un cadre avec sa photo, visiblement après une partie de pêche. Tu laisses ton sac tomber à côté du canapé, et tu le prends dans tes mains. Ton cœur se pince quand tu réalises qu’il n’a jamais assez de jours libres pour profiter cet endroit. T’aurais tellement aimé qu’il y soit venu un jour avec toi.
T’es tellement absorbée par tes pensées que tu ne te rends pas compte que quelqu’un t’a rejoint dans le salon. Sa voix résonne derrière toi, et le cadre s’explose sur le sol quand tu le lâches de frayeur. « T'as dix secondes pour te barrer avant que je te refasse un genou ». Mais c’est quoi encore ça ? Ou plutôt, c’est qui ? Tu te retournes lentement pour faire face à un jeune homme mais surtout à une batte de baseball levée prête à s’abattre sur toi. C’est. quoi. ce. plan. Instinctivement, tu lèves les paumes vers lui pour lui montrer ta bonne foi. « Les flics arrivent, de toute façon, c'est pas un squat ici... ». Tu croises son regard et tu vois qu’il n’a pas plus dormi que toi. La poisse, papa avait dû louer la maison. Evidemment Cece, une maison comme ça ne pouvait pas rester inoccupée toute l'année. Lentement, tu fais glisser le jeu de clé que tu tenais encore en main, passant le porte clé sur ton index pour mettre en évidence que tu n’es pas entrée par effraction. « Doucement, on se calme... Je suis la fille du propriétaire. » Tu secoues légèrement la clé pour ponctuer ta phrase. « Je ne savais pas que c’était loué, mais si on discute comme des adultes courtois on peut s’arranger. » T’avais beau être écroulée de fatigue cinq minutes plus tôt, l’adrénaline t’avait réveillée comme jamais, et pour une fois tu avais une cause plus que légitime à ton anxiété.
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Theodore Aberman
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MessageSujet: Re: family is family in church or in prison — cece   family is family in church or in prison — cece EmptyMer 29 Avr - 11:45


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Il est remonté, assez pour se demander s’il pourrait réellement flanquer un coup de batte. C’est con, mais le fait que ça soit une fille, en face de lui, ça lui fait un peu douter de ses capacités à attaquer sans réfléchir et au passage, un peu baisser sa garde. Pas suffisamment pour qu’il lâche son arme, ceci dit, on ne sait jamais qui on a en face et puis merde, elle est chez lui, entrée là par effraction. Si ça s’trouve elle a un flingue. Si ça s’trouve, elle n’est pas seule. En mentionnant les flics, il se dit que les appeler pour de vrai aurait pu être une bonne idée, cependant et il se sent un peu con… Rich boy qui ne sait pas exactement se défendre parce qu’il a toujours vécu dans les beaux quartiers, protégé par une baraque avec un système de sécurité dernier cri. Il note au passage qu’il n’y a d’ailleurs pas d’alarme dans cette maison là et qu’il n’avait pas tiqué jusqu’à maintenant, prenant note mentale d’y remédier. Rien de mieux que d’être foutu devant le fait accompli pour corriger quelque chose et rien de plus évident pour la nécessité d’installer des caméras de surveillance qu’une intrusion illégale sur une propriété privée. Sa propriété privée — Non, celle de son père, mais c’est pareil ou presque.  Sauf qu’il remarque les clés dans sa main et il fronce les sourcils, l’observant alors qu’elle fait mine de ne pas comprendre, mains présentées comme quelqu’un qui se rend. Elle semble aussi paumée que lui, bonne actrice sans doute. « Doucement, on se calme... Je suis la fille du propriétaire. » lance-t-elle et Theo articule un ‘bullshit’ inaudible, plus confus qu’autre chose face à l’excuse bidon. C’est bien essayé mais c’est bancal, il aurait presque envie d’en rire, s’il n’était pas six heures du mat, s’il était correctement caféiné. Elle ne pense quand même pas que ça va marcher, si ? Elle fait tinter les clés et la mauvaise humeur du jeune homme s’emballe aussi sec, le bruit pourtant minime venant agresser ses sens fatigués, trop pour une telle situation. Gosse impatient, du genre à s’agacer pour un rien, c’est beaucoup d’un coup, là. « Je ne savais pas que c’était loué, mais si on discute comme des adultes courtois on peut s’arranger. » ajoute-t-elle, jetant un peu plus la situation dans le domaine de l’improbable. Ce genre de non-sens de bon matin n’est vraiment pas au goût de Theo qui s’emporte sans plus attendre. « Des adultes courtois ? Il n’y a pas de courtoisie, là, tu entres chez moi à l’aube, j’ai pas envie de discuter » lance-t-il, sans délicatesse, son ton jurant avec celui de l’inconnue. S’il s’écoutait il la chopperait par le col pour la foutre dehors sans plus de cérémonie mais il n’est pas assez idiot pour la toucher et risquer de se foutre en tort. Manquerait plus qu’il lui fasse mal en la balançant sur le béton de l’allée où elle a garé sa voiture, manquerait plus qu’elle le traîne en justice pour un poignet foulé ou un genou éraflé. Ironie d’un système de justice qui autorise ce genre de situation, où une cambrioleuse du dimanche peu se remplir les poches sur le dos de quelqu’un qui ne faisait que défendre ses biens. Alors qu’il pense à tout ça, il ne peut s’empêcher de se gifler mentalement, parce que son monologue interne c’est vraiment la litanie du white priviledge et si ça venait de quelqu’un d’autre, s’il entendait quelqu’un parler comme ça, il ne pourrait même pas s’empêcher de lever les yeux au ciel. « Et nice try, mais le proprio n’a pas de fille » rétorque-t-il, ayant un peu l’impression d’être un gamin en train de se disputer sur la cour de récré, quand bien même l’argument tient. Il est quand même bien placé pour le savoir, fils unique, gosse délaissé d’un connard avec un bon goût en matière d’immobilier. Quoi que, même pas, il est certain que c’est sa mère qui a trouvé ce petit écrin de paix que l’intruse vient déranger. « D’où elles sortent, ces clés ? » siffle-t-il. Putain est-ce que quelqu’un a laissé des clés sous un pot de fleur près de l’entrée ? Quelqu’un aurait été assez débile pour ça ? Non, ça doit être un trousseau volé, trouvé, c’est la seule chose qui fait sens. « Pourquoi je discute, de toute façon ? » ajoute-t-il, rhétorique et désagréable. « Dehors ! » il ordonne ça en pointant la porte avec la batte, trop occupé à être furieux pour scruter le visage de la jeune femme et remarquer les traits pourtant presque familier.
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Cecilia Rosewood
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MessageSujet: Re: family is family in church or in prison — cece   family is family in church or in prison — cece EmptyLun 4 Mai - 13:29


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Tu n'as même pas eu cinq minutes de répit avant que ce chien de garde ne déboule avec la ferme intention de te faire déguerpir. On pouvait clairement lire sur ton visage fatigué ton incrédulité. Il faut dire que les vingt-quatre dernières heures ont tout fait pour t’éprouver, et tu as tout bonnement l’impression d’être plongée dans un mauvais film, au scénario douteux. L'enchaînement des événements est presque surréaliste, et tu te décomposes quand tu vois que ton approche raisonnable tombe à l’eau face à son visage fermé, imperméable à la discussion. « Des adultes courtois ? Il n’y a pas de courtoisie, là, tu entres chez moi à l’aube, j’ai pas envie de discuter » Tu fronces les sourcils. Parce que techniquement c’est plutôt chez toi, t’as envie de rétorquer. Mais tu te retiens, craignant de rajouter de l’huile sur le feu. Et puis - détail non négligeable - c’est lui qui tient la batte entre ses mains et pas toi, alors tu préfères ne pas l’énerver davantage. Tu n’avais jamais été très fan du danger ou des prises de risque alors tu te sentais vraiment hors de ta zone de confort dans cette drôle de situation. Et puis surtout tu commençais à sérieusement douter de sa sanité d’esprit. « Et nice try, mais le proprio n’a pas de fille » Tu laisses échapper un rire nerveux. La fatigue te monte à la tête, et tu commences à te lasser d’écouter ce jeune homme parler de choses qu’il ne connait pas. « Qu’est-ce que tu y connais à la vie du proprio ? Apparemment ce n’est pas devenu ton meilleur copain en signant le bail si tu connais si peu sa vie »  Un seul coup d’œil au rez-de-chaussée et aux photos de ton père installées un peu partout dans la décoration te suffit à savoir que tu es dans la bonne propriété. Ce locataire commençait sérieusement à te taper sur les nerfs. Et ce n’était pas près de s’améliorer. « Pourquoi je discute, de toute façon ? Dehors ! » Il lance alors. La goutte de trop pour ton esprit fatigué.
« Non. »  Le mot était sorti un peu plus durement qu’escompté, te surprenant toi-même. Mais le manque de sommeil était venu à bout de ta patience, et tu restais plantée bien droite devant lui, les bras fermement croisés. T’avais cette mine boudeuse insupportable des gamines bien trop gâtées, pas tellement ton style habituel mais la situation te poussait dans tes retranchements. « T’as qu’à essayer de me mettre dehors tiens, et on règle ça avec mes avocats. » Tu le regardes droit dans les yeux, bien décidée à ne pas te laisser faire. Portée par un élan d’aplomb, tu es intimement convaincue d’être dans ton bon droit. La peur s’étant peu à peu atténuée, tu lui fais face telle la digne Rosewood que tu es.   « Je viens de passer les pires vingt-quatre heures de ma vie, j’ai roulé toute la nuit pour me réfugier ici histoire de mettre mes idées au clair, alors j’ai vraiment pas besoin que le locataire vienne me prendre la tête. »  En moins d’une journée t’avais embrassé quelqu’un d’autre que ton âme sœur, refusé une demande en mariage, subit une crise de panique et rouler toute la nuit en ayant abandonné tout le monde derrière toi. Ça commençait à faire un peu trop à supporter sans aucune heure de sommeil à ton compteur, et tu te lassais de t’expliquer. Tu récupérais ton sac abandonné quelques minutes plus tôt sur le canapé situé entre vous et le balançait nonchalamment sur ton épaule. « J’ai juste besoin de dormir là, j’ai pas de plan B pour le logement alors on va cohabiter. »  Si tu utilisais ta carte, ta mère te retrouverait automatiquement. Et clairement tu n’étais pas prête à l’affronter tout de suite, alors hors de question de partir d’ici et te prendre un hôtel. « Tu seras dédommagé financièrement si tu veux. Pour le dérangement. » Comme toute descendante d’une famille aux revenus illimités, tu penses que tout se règle avec l’argent. Trop fatiguée pour relever les incohérences de la situation et chercher plus loin que le bout de ton nez, la vérité restant cachée à ton esprit qui refuse de faire le lien entre vos deux versions qui peuvent aisément coexister.  

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