l'histoire du forum Comme sur chaque forum, nous voulons vous parler de la création du forum, alors voici les informations importantes. 14.03.2020 début de la construction du forum par Spellman, Lou et installation du design d'ouverture. 15.03.2020 arrivée de Sheepirl, Matti au sein du staff. 18.03.2020 ouverture officielle du forum, bienvenue à vous dans l'aventure, faites comme chez vous et surtout, amusez-vous bien. 27.03.2020 arrivée de Portgas, Léa au sein du staff.09.05.2020 installation de la troisième version, réalisée par Poppies.
| | | -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) |  |
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| Auteur | Message |
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Lilian Sciacchitano home sweet home date d'emménagement : 24/04/2020
messages envoyés : 19
pseudo/prénom : bat'phanie, Steph
faceclaim : Laurel Thoma @Saaya (avatar) siren charms (sign) + VOCIVUS (icons) + Elina (quotes)
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 | | Sujet: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 8:56 | |
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Lilian Sciacchitano
ft. laurel thoma // crédit@alcunalicenza.tumblr.com
I don’t know which one aches more, the soft-epilogue or the harsh prologue identification complète. Lilian, à ne surtout pas confondre avec LiliaNNe, parce que ça n'a rien à voir. Maman qui a refusé de « féminiser » ton prénom, quand bien même les infirmières insistaient. Un prénom neutre, voilà son premier présent. Dans un monde d'homme, elle considère que tu mérites l'effet de surprise, si jamais on devait se contenter de lire ton nom. Rosa, pour compenser, pour excuser la douceur inachevée. Lilian c'est doux, mais Rosa, c'est encore plus délicieux. Rêveur - aussi bien dire que ça ne te va pas vraiment. Sciacchitano, ou comment te faire rouler des yeux sous le massacre constant du nom - italien, bien entendu. C'est le début qui torture la langue, un délicieux prémisse à ta personne - parce que comme ton nom, tu n'as jamais été simple à décrire. âge et date de naissance. 26 ans, 1er mai. Tu es le bébé fleur de ta mère, ce qui explique en partie le Rosa dirons-nous et que chaque année elle t'offre une plante pour souligner l'évènement. lieu de naissance. Carmel-by-the-Sea, que tu n'as finalement jamais quitté et ne quittera probablement jamais. Oh, tu as bien eu une chance d'aller étudier le droit en Italie, mais c'est un projet qui c'est évaporé - un regret qui pèse parfois sur ton coeur. Atlanta t'as aussi appelé, un temps, Richard pour étendard, mais ce n'est pas là qu'étais ta place. Non, tu te plais réellement à Carmel, ne te verrais pas vivre ailleurs. job. Avocate, afin de défendre la veuve et l'orphelin, quand bien même ta mère aime te rappeler que ce ne sont pas eux qui paient le plus. Seulement, ce n'est pas par appât du gain que tu as choisis cette voie, mais par souci d'équité et pour faire une différence dans la vie des autres. Tu te perçois comme le chevalier, celui qui sauve les damoiseaux en détresse, un dragon à la fois. situation familiale. Fille unique, ta mère t'as élevée avec l'aide tes grands-parents, ton père n'ayant pas même assisté à ta naissance. De fait, c'est le nom de ta mère que tu portes, celui de ton père t'étant toutefois connu - mais sans grand intérêt pour ta personne. Et s'il est vrai que tu as grandis dans un foyer plus que modeste, il ne faut pas se leurrer, parce que tu as toujours mangé à ta faim et possédé un lit chaud. De plus, votre petite cellule familial vous à simplement tous rapproché, ta mère, tes grands-parents et toi. situation financière. Confortable et pas à la fois, la faute aux dettes étudiantes et à celles endossées par maman, tout au long de ton existence. Déjà par reconnaissance et puis, parce que tu n'as pas encore entièrement quitté le nid familial - à quoi bon, après tout ? Il y a quelque chose de rassurant à vivre ensemble, à se soutenir. À se laisser des petits mots. Quant à l'argent, il s'empile petit à petit, mais quand bien même tu gagnais le double, tu ne saurais pas en dépenser davantage. Tout est une question d'habitude. statut civil. Célibataire, bien malgré toi que soufflerait ta mère, l'oeil sévère. Pourtant, tu n'es pas nécessairement malheureuse en ton état, préférant être non accompagné que mal accompagné. Après tout, les Sciacchitano sont des femmes indépendantes et fières qui se suffisent pleinement à elles-même. Et peut-être que ça à un petit peu à voir avec Richard aussi, hein Lilian ? Pearson qui t'a brisé le coeur il y a 1 ans et demi. Une histoire sur laquelle tu as trop misé et que tu t'efforces de laisser derrière toi. Rêver c'est bon pour les nunuches, toi tu as du boulot qui t'attend. orientation sexuelle Hétérosexuelle et parfois avec regret, parce que les femmes sont plus douces et à la fois plus raisonnables, te semble-t-il. Qu'il serait tellement plus facile de partager ta vie avec quelqu'un qui comprend sincèrement ta réalité. Et pourtant, c'est vers les charmants messieurs que tu laisses trainer ton regard. Curieuse, parfois assez intriguée pour flirter - un art dans lequel tu tentes d'ailleurs de t'améliorer depuis un an déjà, et pourquoi pas, hein ? Mais plus souvent, ce n'est jamais que pour le plaisir, d'admirer les épaules solides et la pomme d'adam toute ronde. Des soupirs plein de langueur face aux avants bras dénudés et aux cuisses puissantes qui remuent sous les shorts. Tant pis pour toi, Lilian, ne te reste donc plus qu'à souffrir sous leurs conneries. groupe. Never Leave.
qualités. Protectrice, tu veilles au grain sur les tiens, ta famille comme tes amis. Quitte à devenir parfois trop couveuse, trop envahissante - c'est pour leur bien après tout. Franche, tu détestes les longs détours et encore davantage les excuses lâchement formulées. Non, toi tu aimes la vérité et tente de te montrer honnête, autant que faire se peut. Généreuse, tu donnes sans compter, de ton temps et de tes conseils. Pour toi, partage ne rime pas avec perte, au contraire, et tu y prends plaisir. Chaleureuse, tu te veux accessible et sociale, quoi que discrète. Parfois un peu abrupte, oui, mais jamais cruelle - pas par maladresse du moins. Patiente, tu sais que le temps arrange beaucoup de chose et que chacun possède son propre rythme. Évidemment, ce n'est pas parce que tu sais te montrer patiente face à la connerie humaine que tu ne la déplore pas, seulement tu es bien élevée, voilà tout. Fiable, tu es ponctuelle et toujours en avance dans tous tes projets. C'est plus facile à vivre et puis, tu aimes que les gens prennent appuis sur toi. T'as ce besoin viscérale, d'être essentielle. Tu tiens d'ailleurs toujours parole et prend tes promesses très au sérieux. Quand tu t'attache à quelqu'un, ce n'est pas pour le lâcher en cours de route.Ambitieuse, tu désires beaucoup et fort. Tu vois loin et sans avoir peur de te cogner en route, non tu as conscience de ta valeur, mine de rien. Persévérante, tu n'as jamais su baisser les bras, merci à maman. Un pas devant l'autre et demain on recommence, l'histoire de ta vie, ça. Tactile, tu as ce besoin de contact humain, de sentir la chaleur de l'autre. Aimante et démonstrative avec les gens de ton cercle intime, tu ne le réalises pas, mais tes doigts trainent perpétuellement sur les être aimés et appréciés. Organisée et tant pis si tu frôles la névrose, mais n'importe qui peut s'y retrouver dans tes affaires ou ton agenda personnelle. Conscience en tout temps de ce que tu dois faire et/ou d'où tu en es, tu considère que l'organisation est le remède à bien des maux - bien que la classification de ta lingerie n'ait rien à voir dans l'équation. Posée, tu donnes cette impression de toujours être en pleine possession de tes moyens. Celle qu'on ne peut pas entrainé dans sa chute, celle qui n'accepterait assurément pas un pot de vin. Non, toi tu es bien trop enracinée, hein Lilian. Endurante, il en faut beaucoup pour te faire perdre patience ou tes moyens - non tu préfères les joutes verbales aux combats dans la boue. Tu sais encaisser, Lili, depuis les rumeurs aux reproches, jusqu'à l'humiliation. Tu aimes à croire que rien ne t'atteint réellement - si seulement... Prudente, parce qu'il te fallait bien une carapace pour ne pas t'écorcher trop fort, hein. Tu peines à faire confiance aux autres, mais c'est par souci de préservation. Tu ne te lances donc pas dans un projet sans en connaitre le plus d'information possible - et ce, même s'il ne s'agit que d'une virée en ville. Articulée, tu es de ses femmes qui prennent plaisir à parler et qui, même si elles n'appartiennent pas à la haute société, sont tout à fait aptes à se mêler à eux. Une aisance que tu as gagné auprès de Richard, pour un jour rejoindre son monde, comble de l'ironie, bien entendu.
défauts. Orgueilleuse, pour ne pas dire trop fière, tu peines parfois à prendre du recule de situation délicate. La peur de perdre, d'être considéré comme faible ou vulnérable, sous la peau. Névrosée, tu es vaguement consciente que ton souci du détail frôle des sommets inquiétant. Tu aimerais être partout à la fois, savoir te suffire, mais ce n'est pas le cas. Anxieuse, tu vis depuis quelques années déjà, avec la peur au ventre. Celle de décevoir, celle de ne pas être à la hauteur. Peur de l'échec, qui fait s'emballer ta respiration, qui brouille ta vision. Contrôlante, une sale habitude dont tu ne sais plus te départir, un réflexe pour parvenir à contrôler ton anxiété. Un cercle vicieux, oui. Méfiante de tout, mais des autres surtout. Tu es de celle qui considère que tout le monde est coupable, faute de preuve - super pour une avocate, oui, tu sais. Jalouse, un défaut bien dissimulé, mais qui se montre difficile à contenir quand il concerne la personne détenant ton coeur. Tu as tendance à craindre le pire, à imaginer qu'il te filera entre les doigts et que chaque fille le côtoyant, le veut de la même manière. C'est stupide, mais tu n'y peux rien, en amour tu n'es pas partageuse. Excessive, tu as tendance à faire trop, va parfois même jusqu'à te rendre coupable de faire du zèle. « Lâcher l'affaire » est une action très très compliqué pour toi, puisque tu considère le tout comme de la lâcheté. Rancunière, tu n'oublies jamais rien. En fait, tu aimes même faire glisser tes doigts sur tes cicatrices, psychologiques et physiques, de temps à autre. Pour ne pas oublier, pour ne pas te faire avoir encore une fois. Chaque blessure, chaque déception, chaque abandon, comme des tatouages dont tu te couvres la poitrine. Intransigeante, tu es exigeante envers les autres, mais peut-être encore plus envers toi même. La perfection n'existe pas, mais ça ne t'empêche pas de la rechercher et de te montrer assez peu empathique face à la connerie humaine. Un petit effort n'a jamais tué personne. Entêtée, tu peines à ne pas aller au bout de tes idées et parfois, à écouter celles des autres. Défaut qui découle de ton orgueil et de ta persévérance, qui se transforme alors en quelque chose de plus vicieux. Opiniâtre, même si tu refuses d'endosser la chose. Non, tu es critiques, mais c'est tout à fait naturelle et puis, qui n'a pas d'opinion de nos jours, hein ? Le souci, ce n'est pas de les posséder, évidemment, mais que tu les présentes plus souvent que nécessaire. Seulement, tu refuses de te taire depuis toujours - allez donc blâmer ta mère ! Sérieuse, au point où certain aime te déclarer ennuyante. Parce que trop prévisible, trop propre de ta personne. Mais toi, tu vois tellement loin, tu as tellement de projet, que tu ne comptes pas tout foutre en l'air. Rouspéteuse, ou comment dire poliment que tu fais facilement chier ton monde. À toujours avoir à redire, à ne jamais profiter entièrement de quoi que ce soit - ou peut-être que si, à ta manière. Parce que pour toi, râler, c'est délicieux et libérateur.
it's all about you
Ta mère à toujours sut trouver du temps, quand tu étais petite, pour t'amener à plage. De fait, tu as apprise à nager très tôt et ne sait pas te passer de la mer. C'est là que tu vas dès que tu vis un débordement quelconque. Là où tu plonges quand tu as besoin de t'évader. & Dotée d'un pouce vert, tu possèdes toute une collection de plante qui décore ta chambre et ont envahis, peu à peu au fils des ans, le reste de la maison. Tu jardines aussi avec plaisir les weekends. & Grande amatrice de littérature, tu aimes les thrillers, plus c'est violent et sanglant, plus ça t'émoustille ! & Si tu possèdes le permis, tu préfères utiliser ta bicyclette pour te déplacer à travers la ville. Les autres peuvent rire, tu considères que c'est plus écologique et un excellent moyen de garder la forme. & Pas très portée sur le sport, tu fais toutefois l'effort de fréquenter le gym de Maxine, une à deux fois semaines. Déjà, pour encourager ta vieille copine, mais aussi pour ne pas faire n'importe quoi - à savoir que tu t'es déjà claqué un muscle qui t'as ralentit sur ton vélo pendant des mois. Plus. Jamais. & Tu es pesco-végétarienne depuis près d'un an maintenant, un choix qui te fait sentir mieux dans ta peau. Mieux vis-à-vis de la planète et de ses habitants, même si pardon aux poissons dont tu ne peux pas te passer. & Bien que tu aies une super relation - quasi fusionnelle oui - avec ta mère, de par ta position de fille unique, tu aurais aimé avoir des frères et soeurs. De fait, tu as un faible pour les tout petits. Tu ne sais pas si tu seras un jour mère, mais tu aimes les enfants et ils te le rendent bien. & Ton sac contient des objets qui te sont essentiels et dont tu ne te sépares jamais : ton téléphone, un bâton à lèvre de teinte pêche rosée, ta liseuse, un carnet de note à motif de petit bateau, un stylo rouge et des bonbons à la mangue. & Si tu enfiles des escarpins pour le travail, toi tu es une passionnée des tennis. Tu en as une petite collection dans ta garde robe, la plupart à motif coloré - ta seule excentricité, puisque tu possèdes une garde robe somme toute classique. Rien de tape à l'oeil ou de trop coloré pour toi. & Si tu as les genoux légèrement abimés par tes nombreuses et anciennes chutes à vélo, ta seule véritable cicatrice à pour forme une tache brune sur ta peau. Souvenir d'une méduse ayant emmêlée ses filaments à ta jeune personne quand tu n'avais que 13 ans, avant de te piquer. Résultat : brûlure au deuxième degré et des marques brunes qui te zèbres aujourd'hui le côté de la cuisse droite, jusque contre la naissance de tes fesses. Une tache qui te gênais ÉNORMÉMENT il y a encore quelques années et que tu n'exposes toujours pas aujourd'hui, mais à laquelle tu ne réfléchis plus trop. Merci Richard qui aimait y déposer les lèvres. & Quand bien même ta mère ne comprend pas pourquoi, tu aimes passer du temps avec Katherine, la jeune demi-soeur adoptive de Richard. Une habitude que tu as pris avant que votre couple ne soit plus. Tu jouais alors à la babysitter, de temps à autre, pour ses parents. Aujourd'hui, c'est par habitude et affection que tu récupères parfois la petite fille, l'amenant à la plage ou à la bibliothèque. & Le thé c'est une passion chez les Sciacchitano, aussi vous possédez une collection très complète. Chaud ou froid, vous ne buvez pratique que cela ! & Discrète en matière de vêtement, c'est de ce qui se cache dessous dont il faut se méfier. C'est là ton péché mignon, celui dont même ta mère ne se doute pas, maman chérie qui sourcillerait si elle avait sous les yeux la lingerie hors de prix que tu t'offres depuis que tu es avocate. Parce que tu as beau être raisonnable et très économe, Richard t'as aussi appris à te faire plaisir sur certains points - quand bien même c'est stupide, franchement tu ne le remercie pas sur ce point. En plus, faire ta lessive en cachette, voilà qui te désespère, mais tant pis. & Si tu surf encore un peu aujourd'hui, tes jours entier passé sur une planche sont révolus. Non, depuis deux ans, c'est plutôt à la voile que tu t'es mises, dès la belle saison et lorsque le temps le permet. Comme quoi, il n'y a pas que tu mauvais à fricoter avec la haute société. & Si tu n'oses aujourd'hui plus te balader à travers Carmen avec des écouteurs dans les oreilles - il faut vieillir un jour, que dirais ta mère - tu ne sais pas te passer de la musique. Peu importe son genre, dès que tu passes le pas de la porte, tu en lance. Tu chantonnes en permanence, que ce soit sous la douche, en cuisinant ou en étendant le linge dehors.
I am a riot thing with a bloodstain heart and a lover’s spine
no dad allowed. Chez toi, il n'y a jamais eu de papa, rien qu'une maman. Et les soirs de semaines, tu vas chez mamie et papi. Parce que maman travaille fort, que son travail de femme de chambre pour les Wilson est exigeant. Que maman, c'est une employée modèle et une battante, que tes grands-parents souffle avec fierté. Et tant pis si parfois ta situation t'attire les index pointé dans la cours de récré et si tes amis cherchent la photo où on verrait ton géniteur, quand ils viennent à la maison. Parce que ton papa, tu ne le connais pas et ne le connaitra jamais. Après, il faut savoir que de grandir sans un père, c'est un peu comme d'apprendre à faire du vélo, les petites roues en moins. On chute et s'écorche les genoux, mais on recommence le lendemain. Sans hésitation, sans se poser trop de question. Et si tu as un jour cherché à le rencontrer - curiosité oblige, que tu t'excuses, un sourire presque gêné aux lèvres - il t'a suffit de l'apercevoir au loin pour rebrousser chemin. À 8 ans, tu savais déjà que ça ne fonctionnerait pas. Parce que ce n'est pas comme ça que tu l'imaginais, que tu l'as peint dans ton esprit comme un vilain tragique. Celui dont on ne soupçonne pas les réels dessins. Celui n'ayant donc rien à voir avec le type portant les même taches de rousseur que toi, occupé à siroter une bière tout en tapant du pied, les fesses posées sur le trottoir. Ce père-là, tu préfères t'en passer. Tant pis.
boys are stupid. Chez toi, l'argent peine à s'accumuler, quand bien même maman additionne les heures supplémentaires. De fait, tu dégotes un petit boulot dès le début de la saison chaude. T'as 15 ans et ayant passé toute ta vie à nager, être sauveteuse est assurément dans tes cordes. Vous avez besoin de cet argent, besoin du petit surplus que tu déposes sur le comptoir de la cuisine, quand bien même maman te sermonne gentiment. Non, tu n'as pas besoin de t'acheter des vêtements ou des cosmétiques avec ta paie, tu préfères qu'elle l'ait. Et tant pis, si pour ce faire, tu dois supporter le fils Pearson à la marina. Richard qui se donne des grands airs, trop joli - insupportable, oui - à sourire pour tout et rien. Le gouffre séparant vos deux vies le rend d'autant plus agaçant, qu'il n'hésite pas à t'exposer combien il est aisé - non mais quel con ?! Et si t'hésites tout d'abord à le remettre à sa place, soit parmi les débiles profond à qui l'eau de met a érodé le bon sens, au bout d'une petite semaine tu n'as plus cette retenue. Vos petites joutes verbales deviennent choses du quotidienne et tu crains même de te fouler un globe oculaire, à trop rouler des yeux. Richard est un sale petit con, mais autour de lui gonfle la rumeur du divorce de ses parents et quelque part, tu comprends presque son attitude. Suffisamment pour cesser de fuir sa compagnie et le laisser remporter quelques rixes entre vous - comme quoi, il à tort lorsqu'il te dit froide et méchante à son encontre.
wanted it to be you so badly. Chez toi, les bonnes notes ont toujours été de mises, maman ayant toujours été première de classe. Avant qu'elle ne soit forcée d'abandonner ses études, pour t'élever toi, petite fille dont elle à fait sa priorité. De fait, tu suis ses pas et passe tes études devant tout le reste - les garçons rapidement associés à une perte de temps, surtout s'ils ressemblent tous à Pearson. Non, tu jongles plutôt ton boulot à la plage, alternant entre enfiler ta veste rouge de sauveteuse et la jupe noir de serveuse du country club, et les deux clubs étudiants qui coïncide avec tes soirs de congé : théâtre et athlétisme. Pourquoi pas, hein ? Et tant pis si autour de toi toutes tes amies s'égarent dans les affres de l'amour, toi tu gardes la tête froide. Tu ris même lorsque ton nouvel emploi de tutrice pour le fils Pearson attire les taquineries de tes proches. Parce qu'à 17 ans, tu ne te vois certainement pas craquer pour ce grand imbécile avec qui tu bosses déjà trop. Aucun risque. Si seulement, hein Lilian ? Peut-être que tu aurais su résister, s'il ne t'avait pas poussé à bout jusqu'à ce que tu exploses, que tu lui exposes ta vulnérabilité. Lui qui ne prend pas ton tutorat au sérieux, apprend à se montrer plus réceptif après avoir vu tes larmes - tu as besoin de ce boulot, maman travaille déjà trop. Et en découvrant l'étudiant qu'il peut être, avec moult effort évidemment, tu aperçois le garçon dissimulé derrière l'enseigne lumineuse au nom de son père. Richie, de qui tu deviens l'amie secrète - ou pas, au fond. Richie qui te taquine souvent, quand il vient étudier à la maison - parce que c'est plus calme, que ta maman n'est jamais là, et qu'il dit aimer s'allonger là, dans ton lit. Il ment, surement, mais tu te contentes de rouler des yeux et de te prêter au jeu. Parce que 18 ans, ce n'est pas encore trop vieux pour se faire prendre dans les jeux interdits - et que tu n'es certainement pas la seule pauvresse à qui Richard souris de cette manière.
Pourtant, t'y as un peu cru, Lili. Qu'il t'aimait bien. Que le baiser que tu lui as réclamé, par curiosité - parce qu'il à raison et que tu ne connais rien à la séduction, bébé femme que tu es - tu l'as un peu trop apprécié. Que tu lui en dérobes d'autres, pour la science que tu souffles contre sa bouche, pour les besoins de la cause qu'il sourit contre la tienne. Et c'est tellement parfait que tu cesses de projeter l'image d'un autre sur lui - mais l'as-tu seulement déjà fait, Lili ? Non, pas avec Richard pour mentor. Un aveu qui te tord le ventre, parce que tu as le mensonge en horreur, mais que tu ne sais pas comment faire autrement. Richie de qui tu t'amouraches, malgré les avertissements de Max ou les fréquentations douteuses du garçon - Jeremiah pour répulsif. Richie sous qui tu t'allonges en te mâchouillant les lèvres, jusqu'à ce qu'il t'offre son fameux sourire et que tout cesse d'exister. Qu'il ne reste plus que lui, fantôme qui te hante encore aujourd'hui. Jusqu'à ce que tu aies perdu de ta saveur, bonbon qu'il recrache en direction d'un autre - mais n'est-ce pas un peu de ta faute, aussi, Lili ? De lui avoir fait croire, tout ce temps, que c'est un autre que tu désirais ? Peut-être. Mais le rejet est trop cuisant et tu te détournes, le coeur en miette. Parce que Richard aurait dû savoir, aurait dû comprendre, que tu n'offrirais pas ton innocence à n'importe qui. Fini les rires de corridor sur ton supposé béguin pour lui - humiliation suffisamment encaissée, parce que terriblement vrai - non maintenant on se contente de ricaner. Parce qu'il en a terminé avec toi. Et tu devrais baisser la tête, Lili, baisser les yeux, mais tu redresses plutôt le menton et préfère ignorer jusqu'à l'existence du fils Pearson.
religion's in your lips. Chez toi, c'est un endroit qui ne sers plus qu'à manger et dormir. Un lieu où vous vous laissez des notes, maman et toi. Où mamie abandonne des petits plats et où papie vient parfois se poser, te sermonnant de ne plus les visiter autant. Tes études pour excuse, tu cours dans tous les sens. Tu ne dors plus assez, la faute à tout ce que tu tentes d'enfoncer dans ton crâne et aux quelques fêtes où t'entraine Max - terrible influence qu'elle tente de faufiler jusqu'à toi, mais sans réel résultat. Tu es encore une bonne fille, Lilian, tu le seras probablement toujours. Trop sérieuse, peut-être, mais ambitieuse comme il faut. Le droit t'as happé, mais tu n'as pas réellement changé, pas encore. Tu gardes tes marques, le country club où tu travailles encore et la plage que tu arpentes dès que le soleil daigne se présenter. Et s'il t'arrive de sortir avec des hommes, tu fais ça très correctement : restaurant, cinéma et ta main qui effleure les leurs. Le baiser en fin de soirée et les corps que tu ne ramènes pas chez toi avant le cinquième rendez-vous - un test que la plupart ne daigne même pas tenter. Prude qu'on souffle derrière toi, mais ça te fais sourire. Presque autant que Richard, quand tu le percutes, quatre ans après votre dernier conflit. Pearson junior que tu as su ignorer jusqu'ici, l'humiliation aujourd'hui enterré, paix à son âme. Parce qu'il est aussi maladroit qu'amusant, à flirter innocemment avec toi. Et quelque part, votre passé remue et si tu refuses de céder trop vite, tu le laisses approcher. Lui qu'on à trainer au country club pour servir de valet aux touts puissants, il a presque perdu son aura de fuckboy. Tant mieux, pour lui. Tant pis pour toi, Lili.
L'appartement est alors moins vide, parce qu'entre les révisions et le boulot, tu le laisses t'entrainer à travers Carmel. Que tu ris jusqu'à perdre le souffle, celui qui s'emballe quand il t'embrasse, tes doigts qui se perdent dans ses cheveux. Qui fouillent alors sa poitrine, pour chercher à savoir si son pouls s'emballe aussi, Richard qui se dit amoureux. Richard qui attend tout un mois avant de te suivre chez toi, lui qui retrouve enfin sa place : allongé tout près de toi, dans ton petit lit. Richard qui te présente enfin officiellement à papa Pearson, celui qui sourit, mais pas jusqu'aux yeux. Parce que tu ne lui suffis pas, à lui, mais que tu ne veux pas t'en inquiéter. Que toi, tu crois bêtement que le temps moyenâgeux ne reviendra pas, que le roi de la marina apprendra à t'apprécier. Qu'il verra plus loin que ta mère femme de chambre et tes dettes étudiantes - celle que tu as bel et bien l'intention de rembourser sans aucune aide extérieur. Parce que l'amour à 22 ans, fait cet effet là : que tu te sens invincible, ta main dans celle de Richard. Que tu parviens même à apprécier un minimum Jeremiah, que tu te mêles enfin à sa vie. Vous n'êtes plus des enfants, après tout. Tu aurais pourtant dû venir la suite, Lili ou Lil, comme il aime t'appeler. Ton tendre amour, celui qui ploie sous le poids de son nom. Celui que tu ne parviens pas à aimer assez fort pour le soulager. Parce que, finalement, tu ne suffis peut-être pas davantage au troisième Richard, qu'au second.
wish you had stayed. Chez toi, c'est à presque 37h de route de Richard. Carmel séparé d'Atlanta par 3893 km, rien que ça. Autant de kilomètre que de dette pour toi, des chiffres qui s'emmêlent dans ta tête, qui pèsent sur ton coeur. Parce que lorsque ton petit-ami t'as exposé son besoin de partir, de rejoindre sa mère là-bas, t'as compris Lil - que Richie avait besoin de prendre ses distances avec son père et tout le patrimoine Pearson. Pourquoi pas, hein ? Un été, c'est si vite écoulé et tu avais une tonne de boulot devant toi. Puis il y a mamie dont la santé commence à osciller, donc c'est tout aussi bien. Tu l'as encouragé et soufflé un dernier baiser, avant de le regarder disparaitre dans son avion - un petit 5h de vol devant lui. Tu t'es alors abîmée dans tout le reste, le travail et les cours d'été, mamie avec qui tu as passé le plus de temps possible et quelques soirées avec Max, pour récompense. Quelques coups de fils avec Richard, c'était suffisant au début - des bonjours, bonne nuit, je t'aime, pour compenser. Pour consoler.
Puis les cours ont repris et il a décidé de rester là-bas, qu'il avait besoin d'un peu plus de temps. Et même si tu as pincé les lèvres et baissés les yeux, qu'il t'a demandé si tu comprenais, tu t'es efforcé de lui sourire à travers l'écran de téléphone. Parce que si c'était ta mère qui vivait aussi loin, toi aussi tu voudrais rester. Tu as 23 ans, pas cinq, Lil. Et tant pis si en début d'année tu as refusé de partir pour l'Italie, que tu as laissé la chance de partir un an à l'étranger à un autre. Ce n'est pas que pour lui, mais aussi pour mamie, pour maman. Menteuse, menteuse, parce que Richard sait très bien, lui, que tu es resté à Carmel pour lui. Parce que tu croyais qu'il rentrerait, qu'il serait là - qu'au fond, tu craignais une relation à distance, celle qu'il t'impose maintenant. Maman n'a que des « je te l'avais dit » aux lèvres, mais bientôt les cours te submerge et tu t'y enfonce avec bonheur, te convaincant presque que de voir Richard une fois aux trois mois te suffit. Mais pas vraiment, jamais entièrement.
break and burn and end. Chez toi, il y a la baie de Carmel et son père, l'océan pacifique plus loin. La chaleur et le romantisme des petites maisons décorées de boite à fleur. Il y a la marina et son armée de bateau coloré, les voiliers qui te font rêver et le yatch des Pearson que tu as apprivoisé, une balade en mer à la fois. Ça n'a rien à voir avec Atlanta, plus cosmopolite et nichée entre d'autres états. Ce n'est pas un mal en soit, seulement ce n'est pas chez toi. Ni chez lui, Richard qui souris trop, qui cherche à te convaincre que c'est ici votre place - qui ne réalise pas qu'il ressemble de plus en plus à son père, avec son sourire qui se cantonne à ses yeux, quand il te parle de votre futur possible ici. Et si tu tentes de te montrer enthousiaste, que tu acceptes qu'il t'invite dans le meilleur restaurant de l'arrondissement, que tu tombes immédiatement sous le charme de sa mère, tu n'as pas oublié. Son départ précipité et ses nombreuses excuses pour ne pas te visiter. Son incapacité à revenir ou à reprendre sa vie là où il l'a interrompu - votre histoire avec. Tu as 24 ans, mais il te semble qu'entre l'état de mamie, la fin de tes études et Richard qui ne retrouve pas pied dans ta réalité, tu fais au moins trente ans de plus. Tu es épuisée Lilian, d'entretenir une relation qui n'en est plus une - votre couple se résumant aujourd'hui à des sms ou du facetime. Ça ne suffit plus, ça n'a jamais sut te contenter. Parce que tu as besoin de son odeur, de sa chaleur et du poids de son corps contre le tien. Richard que tu veux bien soutenir, tant qu'il pèse physiquement contre ton corps.
Alors tu pleures, Lili, allongée dans son autre lit - celui dont tu ne connais pas l'odeur. Et même Richard n'a plus le même parfum ici - alors tu te noies dans tes sanglots, allongée nue contre lui. Jusqu'à ce qu'il te prenne dans ses bras, qu'il cherche à consoler ce qui ne va pas. Que tu lui parles de ta grand-mère qui se meurs à petit feu et de toute la peine de ta mère, de la tienne. Puis, de son absence. Celle qui blesse, toi, mais lui aussi. Le regard enfoncé dans le sien tu lui chuchotes combien tu souffres de vos conflits perpétuels et de ses reproches. Mais toi qui considérais aller étudier toute une année en Italie, pourquoi refuses-tu de venir à Atlanta ? La question est bonne, mais n'a-t-il pas entendu ? Il y a tes grands-parents et ta mère, l'argent qui manque - celui que tu refuses qu'il t'offre sans réfléchir, parce que Richie est ainsi. Parce que toi, tu comptais revenir au bout d'un an, que lui s'enfonce dans sa fuite et qu'il réclame aujourd'hui une année, mais que la suivante sera identique, que bientôt il t'offrira une maison ici. Il n'y voit pas le mal, il ne compte pas les pertes et après tout, dans son monde, tout s'achète. Mais pas toi, Lil. Pas tout ce que tu aimes, lui y compris. Que tu ne sais pas fuir, que tu t'es bien assez mentit à toi-même et que votre histoire ne vas nulle part. Qu'elle est vide de sens sans lui, sans sa main dans la tienne. Adieu Richard et soit heureux, ici à Atlanta.
full of honey and wounds. 26 Chez toi, ce n'est plus l'appellation du minuscule appartement partagé avec ta mère, mais celle de la maison maternelle. Celle que papie habite seul depuis quelques mois, mamie qu'on a enterré l'hiver passé. La maison que vous avez envahie avec ta mère, pour le soutenir, pour que malgré la perte, il ne soit pas abandonné. Et parfois elle te manque encore, ta petite chambre et ton petit lit. Parce qu'ici, il n'y a que la fantôme douloureux de ta grand-mère pour te tourmenter. Maman insiste que ça passera, que tout guéris avec le temps. Mais tu ne sais pas si elle parle du deuil de celle que tu considérais comme une seconde mère, mamie dont vous attendiez tous la disparition en retenant votre souffle. Trop malade, la souffrance dans chacune de ses articulations. Ou si c'est de l'absence tangible de Richard, celui que maman aime comparé à Voldemort - celui dont on ne doit pas dire le nom, une idée qui te fais rouler des yeux. Ce n'est jamais qu'un chagrin d'amour, tu comptes t'en remettre. Il y a plus difficile, le départ de mamie comme un membre en moins, là où Richard n'était que l'esquisse d'un bonheur plus complet. Tant pis, tant pis, tant pis - si tu le répète assez souvent, comme tout bon souhait, ce sera vrai.
La vie reprend sa course et petit à petit, tu reprends presque tout le poids perdu au cours de la dernière année. Tu intègres un cabinet d'avocat et ce n'est pas sans surprise que tu te présentes à un rendez-vous avec Mr.Pearson, qui te propose un contrat. Et pourquoi pas ? S'il n'a jamais sut t'imaginer correctement dans un rôle de belle-fille, il ne te respecte pas moins, il sait même reconnaitre que tu as un avenir prometteur devant lui. Contrairement à son fils, celui qui fuis, celui qui n'est toujours pas revenu. Mais tout ça ne te regarde plus et tu te contentes d'accepter le contrat, de cesser de chercher Richard dans son visage. Il est temps de guérir, 26 ans c'est l'âge de la raison, l'âge de tenter autre chose. Peut-être même de retomber en amour ? Qui sait... mais ça aurait quand même été mieux de savoir que Richard revenait, qu'il c'était ENFIN décidé. Sauf que personne n'a cru bon de t'aviser que pendant les trois mois que tu as passé à New York, l'un de tes dossiers s'étalant jusque là-bas, lui c'est réinstallé parmi les siens. Richard, dont tu as raté le retour et sa quête de ta personne. Peut-être que ça ne change rien, peut-être que ça change tout.
pseudo/prénom bat'phanie/Steph pays Canada. tes impressions Votre forum à l'air terriblement cosy et chaleureux, je n'ai entendu que du bien. d'où tu viens? C'est sur Bazzart que j'ai repéré votre petite merveille et entre temps, j'ai des copines qui vous ont rejoint. Coucou à @Maxine Wilson, @Jeremiah Middleton & @Erinn Sanders  autre? Avec Richard, on a super hâte de faire votre connaissance et de creuser notre petite place ici.
Dernière édition par Lilian Sciacchitano le Dim 26 Avr - 22:20, édité 15 fois |
| | | | Clarence Baxter home sweet home date d'emménagement : 22/03/2020
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 9:16 | |
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 9:17 | |
| seigneur, tu m'intrigues  et ce choix d'avatar  bienvenue sur le forum, hésite pas si besoin  |
| | | | Lilian Sciacchitano home sweet home date d'emménagement : 24/04/2020
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 9:34 | |
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 9:42 | |
| Oh comme c'est joliment écrit tout ça. Vite, vite, on veut en savoir plus!  Bienvenue dans la place mademoiselle et bon séjour à Carmel! |
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 13:54 | |
| italie   j'adore ce que tu as écrit, Lilian est trop intéressante  bienvenue à toi  |
| | | | Maxine Wilson home sweet home date d'emménagement : 10/04/2020
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 14:01 | |
| Chatoooon! Trop contente de te voir déjà ici  Hâte de lire le reeeste |
| | | | Erinn Sanders home sweet home date d'emménagement : 09/04/2020
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 15:49 | |
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| | | | Kieran Miller home sweet home date d'emménagement : 10/04/2020
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 16:48 | |
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| | | | Jeremiah Middleton home sweet home date d'emménagement : 08/04/2020
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multinicks : et non, pas encore les amis.
| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 19:29 | |
| J’ai adoré ce moment pépite d’or quand je t’ai demander si tu étais aussi sur Forget lol. Bienvenue  |
| | | | Lilian Sciacchitano home sweet home date d'emménagement : 24/04/2020
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pseudo/prénom : bat'phanie, Steph
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Ven 24 Avr - 20:01 | |
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| | | | Mia Evans home sweet home date d'emménagement : 16/04/2020
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pseudo/prénom : Liiloux / Lilia
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Sam 25 Avr - 2:39 | |
| Bienvenue sur le forum ^^ |
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) Sam 25 Avr - 21:33 | |
| Bienvenue à toi et à Richard  |
| | | | Lilian Sciacchitano home sweet home date d'emménagement : 24/04/2020
messages envoyés : 19
pseudo/prénom : bat'phanie, Steph
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| | Sujet: Re: -- dangerous eyes and a treacherous heartbeat (lilian) | |
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Et ouiiiii, ce sont des amours ces trois là, donc il était temps que je les rejoigne et du coup, vous devriez voir Richard Pearson faire son apparition dans quelques heures. 
) Merci à toi, dieu des biscottos ! 
Et puis je dois le dire mais le nom de ton personnage est si joliiiiii plz. 
Aooow merci merci ! 
Je suis hyper contente de vous rejoindre aussi !! 
(On ira faire chier les riches ensemble 
