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l'histoire du forum Comme sur chaque forum, nous voulons vous parler de la création du forum, alors voici les informations importantes. 14.03.2020 début de la construction du forum par Spellman, Lou et installation du design d'ouverture. 15.03.2020 arrivée de Sheepirl, Matti au sein du staff. 18.03.2020 ouverture officielle du forum, bienvenue à vous dans l'aventure, faites comme chez vous et surtout, amusez-vous bien. 27.03.2020 arrivée de Portgas, Léa au sein du staff.09.05.2020 installation de la troisième version, réalisée par Poppies.

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 a million voices in your head that whisper, "stop, now"

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AuteurMessage
Tamsin Wilson
Tamsin Wilson
home sweet home
date d'emménagement : 03/05/2020
messages envoyés : 107
pseudo/prénom : victoria
faceclaim : cailin russo @lilousilver
multinicks : oriana

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MessageSujet: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyLun 4 Mai - 0:22


Tamsin Wilson
ft. Cailin Russo // @eternalroleplay.
what are you willing to lose ?
identification complète. on dit que la damnation existe en son sein, on dit que la famille est maudite, que c'est un malheur de porter le nom de wilson, mais ce n'est pas d'un sortilège que tamsin a peur, mais bien de la fureur de son paternel, de la froideur d'un environnement malsain... la plupart des enfants sont des trésors, mais elle n'est qu'objet, illusion délaissée par un regard noir, tandis que son seul réconfort familial vient l'appeler tamtam pour la faire sourire. un sourire passager, qui ne reste jamais bien longtemps. parce que le sourire est un rêve, et que le réveil est un cauchemar. âge et date de naissance. petite dernière de la famille, mais loin d'en être la princesse, elle pousse son premier cri le cinq mai mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf et savoure le joint de ses vingt-et-un ans, étalée contre le lit de son infortune, le corps encore dénudé de la veille, et le dégoût tentant de passer avec la fumée au petit matin. lieu de naissance. aux griffes de démons, et dans la cité des anges. los angeles l'accueille en pensant lui coller une auréole, mais bien vite les lueurs célestes disparaissent pour la mortalité flagrante d'une femme piégée à tout jamais dans cette prison dorée qu'est la famille. job ou études. c'est comme être pute. la famille possède l'argent, le paternel possède la fille, elle n'a aucun droit, à part celui d'exercer la volonté du patriarche. un corps de déesse, qu'il clame haut et fort. un corps de déesse, pour séduire un garçon, les portes ouvertes vers un un avenir meilleur pour les wilson. pas pour elle. elle n'est qu'objet infernal, enchanteresse maudite envoyée courtiser, séduire, appâter une cible. c'est comme être pute. ça la rebute. mais elle ne peut s'envoler, oiseau en cage. ne peut que laisser libre cours à son imagination quand elle se retrouve enfin seule, mots posés sur le papier en attente d'un jour, peut-être, vendre ses écrits, les vers toujours plus puissant, poème dans la peau, pour oublier que la vie n'est pas si belle. situation familiale. régnant sur la famille, un patriarche qui se veut tout puissant, une femme à ses côtés, qui ne voit que lui, et leurs trois beaux garçons, tous fiertés de la famille. il n'y a pas assez de place dans les cœurs pour qu'elle survive heureuse, dernière et détruire, âme comme avenir. le regard vers les différents cousins pour, parfois, envier leurs vies. situation financière. ce n'est jamais assez pour des êtres comme lui. ce n'est pas suffisant malgré l'immense richesse du paternel, de la famille, des wilson. il en faut toujours plus, quitte à sacrifier la vertu et l'innocence d'une jeune adulte. statut civil. solitude bien pesée, contrôlée. le cœur épris d'une jeune femme, lumière de sa vie, le corps donné marionnette aux mains de l'inhumain. orientation sexuelle comme une évidence, belles nymphes trouvant le chemin de ses pensées, tandis qu'elle n'a pas le droit de ressentir ce qu'elle veut, que son corps ne lui appartient plus, désormais, homme en abusant, malgré son unique attirance pour les dames, sa dame. groupe. coming back car les chaînes la retenant se resserrent toujours plus.

(qualités.)
Le cœur à l’agonie, comme si plus rien ne pouvait l’aider, comme si la mort était attirante. Le cœur à l’agonie, elle laisse sa fumée empoisonner ses poumons, pour ressentir encore une fois, la douleur physique. Pour ressentir encore une fois, qu’elle existe. Tandis que sa main suit celle de son amie, qu’un contact lui fait le plus grand bien, que l’alcool saura la détendre. désinhibée elle sait oublier ses problèmes, ne surtout pas les énoncer. Ce n’est pas l’alcool qui délie sa langue, et ce ne sont pas ses nouvelles amies qui auront pitié. Et tandis que le bar se rapproche, son regard se perd, sa fumée se jette, parce qu’elle ne veut faire de mal à personne. un bon cœur s’il avait le droit d’exister. un bon cœur, qui se brise petit à petit. Pourtant, ce soir, elle sourit. Se doit de le faire, parce qu’elle ne connait encore personne d’autre qu’ashe. se doit de le faire, pour elle. et les autres. Il y a trois têtes, qui se bousculent à l’entrée pour faire la bise. Trois têtes, dont une qui n’est pas inconnue, une qui se reflètent dans les souvenirs de tamsin, une qui lui fait honte. Tellement honte. Parce qu’elle n’est pas bonne, tamsin. Pas tout le temps, pas la plupart du temps. protection contre le monde extérieur, défauts qui ne cessent de remonter à la surface, elle s’en veut quand elle comprend qu’elle se retrouve présentée à celle à qui elle a fait défaut. elle deviendra pourtant son plus grand bonheur, belle cecilia. et un sourire malhabile, et la tête qui se détourne un peu, elle soupire doucement enchantée… et… par… pardon… pour… enfin… excuse moi… j’étais… je suis une abrutie… consciente de ses défauts, elle se sait difficile à supporter. Et la belle cece en a fait les frais. Elle s’excuse. S’excuse, avant de commencer une relation, ce qui deviendra soit amitié, soit rejet le plus total. Son regard ose pourtant remonter face aux yeux de la brune, qui ne tarde pas à l’enchanter, l’hypnotiser par un soupçon de beauté, mais surtout par toute cette souffrance qui semble cachée dans ses iris. Elle est belle, cece elle est une beauté renversante, le cœur de tamsin s’entiche au premier coup d’œil. Mais elle n’est pas que ravissante, elle a cette douceur, elle a ce pardon. Un pardon que la blonde ne mérite pas, un pardon qui réchauffe une âme bien peu reluisante. Et une soirée qui se fait dans une joie insoupçonnée. Une soirée qui semble ne pas se terminer, tandis que les shots amènent aux fous rires. Chacune raconte à son tour une partie de son histoire, ce qui doit se savoir, ce qui peut se savoir. Des anecdotes, et des blagues, des moments gênants, avec panache. Et elle écoute et conseille parce que sa vie a beau être, d’une certaine façon, misérable, tamsin a toujours un avis, sur tout. Et elle ne sait pas se taire laisse sa franchise devenir une bonne amie. Alors quand ashe se plaint de ne jamais avoir de « premier message » de son petit ami, c’est d’un coup que la blonde s’exclame mais va le voir, et dis lui. t’es pas à son service, il doit te mériter. si seulement elle méritait quelqu’un, elle. les autres passent toujours en premier parce qu’elle ne sait pas comment s’estimer. Parce qu’elle ne sait pas comment se comporter, pour se défendre elle-même. pourtant, quand cece se fait approcher par un gars malpropre, elle n’hésite pas, le rembarre à sa place, le repousse telle une furie. elle est forte, un vrai tigre, quand il le faut, tant que ce n’est pas à elle qu’on s’en prend. Auquel cas elle devient chaton. La rebelle ne sait pas se détacher complètement. Et tandis que les filles finissent par sortir, il y a ce moment, un bonheur immense qui vient traverser le cœur meurtri de la jeune blonde. Parce que sa main effleure celle de cece, et qu’elle lui susurre doucement qu’elle est encore désolée pour le passé, qu’elle voudrait lui prouver qu’elle peut être autre chose que cette connasse que la brune a pu rencontrer.
(défauts.)
Cette connasse qui ne semblait pas avoir de cœur. alors que la première fois qu’elles s’étaient rencontrées n’était pas la plus magique. Alors la belle brune marchait, nez sur son téléphone, elle n’avait juste pas pu voir que les yeux de la fumeuse se reposaient d’un voyage trop lassant avec son subconscient. Et quand la collision arriva, il y eut un éclair d’horreur dans le regard de la tigresse, tandis que la belle cecilia ne voulait que s’excuser. Ce n’était qu’une erreur, tout le monde pouvait en faire. Ce n’était que de l’inattention, cela arrivait à tout le monde. pourtant, perdue entre les différents poisons auxquels elle était accro, tamsin n’avait pas hésité à sortir sa langue de vipère, devenir la pire salope possible, persiflant insultes et cochonneries, abusant de sa capacité de poétesse pour devenir cette loubarde que personne ne pouvait supporter, clamant que la brune n’était rien d’autre d’une petite conne, en plein de jolis mots, tous plus méchants les uns que les autres. En clamant que son petit cul ne la sauvait, ni ne la sauverait, des remarques les plus pestiférées. non sans mater au passage, elle n’était qu’acharnée par la colère, marquée par l’exaspération. Qu’une sale gosse jetant son mégot à terre pour s’enfuir enragée…
Si seulement cela avait été la seule et unique fois durant laquelle tamsin avait fait étalage de son mauvais caractère et s’était défoulée sur cecilia sans savoir que son cœur battrait un jour pour elle. parce qu’elles s’étaient également croisées quelques temps avant cette rencontre officielle au bar. Elles s’étaient croisées, à un événement caritatif auquel pas mal de bonnes familles fortunées assistaient, afin de se donner bonne figure, de se faire bien voir du reste du monde, de la « plèbe ». des familles comme celle de celui qu’elle se devait de charmer, tamsin. cet homme qui représentait un véritable atout, pour son paternel. Cet homme, fils d’un magistrat, qui ne savait rien des complots fomentés à son encontre pour l’avoir dans la poche des wilson. un gars sympa, sûrement. Le pauvre ne se doutait de rien, tandis que la manipulatrice s’était faufilée entre lui et son amie, pour se l’accaparer. Une amie qui se prénommait justement cecilia rosewood alors que le regard de la vipère aux cheveux d’or lui ordonnait de s’écarter. regard mauvais, un doigt d’honneur aurait eu le même sens, mais alors que la brune s’était retrouvée seule, tamsin ne s’était pas gênée pour le rajouter au tableau.


(♥.)
Une connasse… dit-elle. pourtant, alors que cecilia l’écoute s’excuser encore une fois, il y a comme un sourire majestueux qui se forme sur ses lippes. Et quand la blonde lui demande pourquoi, il n’y a que trois mots qui se retiennent. « je te pardonne. ». et un cœur qui flanche. Le sien.


it's all about you
(la fureur de vivre, comme un mensonge ancestral,
prends-moi mon âme je t’en prie, faucheuse infernale.)
Le cœur saccagé, il y a cette impression que le monde s’écroule, alors qu’elle n’est encore que toute jeune, petit bébé sortant de l’enfance, un début d’adolescence, et le caractère posé sur le papier difforme, tandis qu’elle sent les larmes d’une colère patriarcale encore sur ses joues, cadavres de ses rêves à jamais ensevelis sous les propos du paternel, lâchés sans grand intérêt, juste une vérité de plus qui blesse la jeune fille. Elle n’est pas l’un de ses fils. Elle n’a pas l’amour d’un père normal, elle n’a pas le même rapport que les autres enfants avec leur famille. Elle n’a pas le soutien, elle n’a que son chagrin, la rage d’une tigresse se perdant sur la feuille, crayon griffonnant déjà ce qui restera à jamais sa seule passion, en dehors de l’autodestruction. Les pleurs d’une âme, les pleurs silencieux, que seuls les dieux et la faucheuse peuvent entendre, alors que le regard se fait intense sur cette baignoire vivement préparée… tissus tombants, glissants le long de sa peau immaculée, elle ne tarde pas à entrer dans la baignoire, lame de rasoir à la main, déterminée à en finir, déterminée à se laisser crever, dans le simple but de faire pousser des émotions sur le visage d’un père aussi froid que l’éternelle neige se faufilant toujours un plus sur les monts du monde…
Il n’en faut que peu, qu’un soupir de plus, pour qu’elle laisse le métal se coller à l’épiderme, que toute sa vie défile devant ses yeux. Jeune gosse incapable, jeune gosse marchandée, elle ne veut plus être objet, et pourtant elle tremble. Tremble bien trop, dans l’eau chaude. tremble bien trop, des torrents dévalant son visage. Lâche. Toujours lâche. Bruit tintant de la lame contre le carrelage. Incapable d’aller au bout, malgré ce désir dévorant. Incapable d'aller au bout, tentative avortée, cruel coup du sort. Destinée à se tuer à petit feu, le poison sera son arme de prédilection, entre différentes drogues et fumée bien trop présente dorénavant…
(famille. un des cadeaux du ciel. cruelle blague.
à choisir, mon cœur préfère saisir cette dague.)
Est-ce sa faute ? seule tare, celle d’être née. Seule tare, celle d’être femme. peut-être le paternel s’attend-il juste à une obéissance sans limite, peut-être maman ne veut-elle que le bonheur de son mari, mais aucun de ses frangins ne semble être capable de l’apprécier à sa juste valeur. Seuls les regards en sa direction parlent la vérité, quand les menteurs se permettent de la rassurer. On ne l’apprécie pas, pas en tant qu’humaine. On ne l’apprécie pas, sauf en tant que possession. Chérie de son papa, celui qui ne veut que l’utiliser. Mais quand les parents sont absents, il y a cette langue de vipère, enfouie dans les iris de l’aîné. Celui qui se veut le plus proche de l’héritage, qui s’assure qu’elle n’oublie pas qui elle est. Ce qu’elle est. Un bien, pour les trésors de la famille. Les deux autres ne parlent pas, mais le plus grand s’amuse, lui assure qu’elle a intérêt à bien obéir, la prépare, regard salace. Avec tant d’années de plus, il sait à quoi s’attendre, préfère imaginer la blonde au détour de la puberté, se dit qu’elle pourrait se révéler bombe, à utiliser dès que l’occasion sera là. alors quand elle attrape le biscuit, petite fille encore pleine d’espoir, il la frappe cruellement, une gifle, et une tape sur la main, le regard d’un monstre perdurant dans un esprit d’enfant. « pas de grignotage ! pas si tu veux être belle. » il y a erreur, elle ne veut pas, elle. pas quand elle entend son frère aussi durement. Elle préfère être heureuse. bien belle connerie. Le bonheur n’existe pas, quand le destin est tout tracé. Il n’y a pas de lueur, à moins de se complaire dans le rôle prédéfini. Celui d’étouffer inlassablement, pour préparer le corps qui sera vendu. Avant même de comprendre les différents mots utilisés, elle est déjà traitée comme un atout. Sans grande importance humainement parlant. Elle n’est qu’un atout, l’as à jouer en début de partie, pour récolter la mise.
(amour. ce n'est qu'un nom désignant ces foutaises
derrière lesquelles se cache la genèse.)
Quand elle la regarde, épargnée, école comme sanctuaire, ses yeux s’agrandissent, des merveilles ne cessent d’orner ses songes, les pensées n’existent plus que pour la soumettre à une comparaison digne d’une déesse. Le premier amour est toujours aussi puissant, les contes parlent souvent de ce que l’on ressent, mais ce n’est pas par la lecture qu’elle comprend combien ils ne sont pas à la hauteur, mais par le regard qui se perd sur ses jolis cheveux roux et ondulés. Ceux qu’elle aime s’imaginer peindre, sans savoir comment tenir son pinceau pour que la forme de ses sentiments prenne vie en un souffle coupé. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle se perd. Se perd dans ses iris, aussi. Douce joséphine, qui ne la remarque même pas. l’attrait pour les mauvais garçons dans le cœur, et pourtant, c’est la mauvaise fille qu’elle charme sans le savoir. tamsin n’a jamais connu cela, ne connaitra d’ailleurs ce genre de sentiments qu’une seule autre fois dans sa vie, lorsque son regard contemplera la foudre descendue du ciel pour la frapper avec puissance, lorsque cecilia saura la faire fondre au premier contact. Des années plus tard. Mais en cet instant, quinze ans à peine au compteur, la jeune wilson ne sait que se complaire en la voyant, douce peste, remontant l’allée de la classe. Comme un mariage. Comme un rêve d’une nuit d’été. Malgré l’hiver sonnant à la porte, fracassant le cœur avec force lorsque la blonde laisse finalement ses pensées prendre forme, des mots de toute beauté réduits à néants par les moqueries de l’intéressée. Agonie, alors qu’elle comprend. Homosexuelle, un mal, péché de plus pour la vile dernière de la famille. Péché répété quand elle croit pouvoir se confier à sa maternelle, le palpitant encore douloureux, la honte planant sur le dessus de sa tête. plus jamais. plus jamais ses sentiments seront annoncés, puisqu’ils n’ont aucun intérêt aux yeux de son fardeau.
(ô, espoir, protège-moi de mes nombreux maux,
que je puisse y survivre, la folie du bourreau.)
Sa place est définie, son âme est enchaînée, et pourtant, elle sait qu’elle reste wilson, que les mots de son père ont beaux être touts puissants, elle a le droit de vivre, de tenter en tout cas. Un soupir, quand elle parvient finalement à milan, première destination d’une épopée. Première destination d’une vie qui veut tant échapper à la destinée. Venise à sa suite, l’Italie dans son cœur. puis direction le vésuve pour y voir des merveilles. Toujours tachée de sa mort en fumée, mais avec l’impression d’être plus piégée encore que les ancêtres de pompei. Car la laisse tirée, elle ne sait que revenir, les regrets de ne pas rester, de ne pas s’enfuir, toujours plus présents. Elle ne peut pas, malheureusement, paternel toujours si puissant, qu’il ne compte pas la laisser en liberté. Elle peut s’envoler, mais reste attachée, quand il la convoque, elle se présente sans tarder, ou en subit de lourdes conséquences, comme cet ordre bien équivoque, le plus grand de tous ses cauchemars. Il y a un fils, il y a un homme. famille aisée, et potentiel immense, elle comprend ce qu’il se passe, est vendue. Dire qu’elle pensait qu’il n’oserait pas aller jusque là. mais elle est objet, il est propriétaire. Elle est esclave, il est maître tout puissant. Et la dépendance se fait ressentir, et la douleur frappe sa cage thoracique. Pourtant, elle s’exécute, laisse le champ libre à son charme. Corps d’une nymphe, à jamais souillé, tandis que son âme s’évapore, à la recherche d’un moyen de parler, d’un moyen de crier. Cela commence par des larmes lors du premier baiser. Un mensonge pour le rassurer, un mensonge pour se cacher. Le bonheur les ferait couler, quand c’est l’horreur qui en est l’origine. Et puis il y a les cris de son cœur, les cris de son corps. quand elle finit par passer la frontière qui savait jusqu’alors la tenir en espoir. Un hymen brisé, en même temps que son âme.
(prends donc mon cœur, je te le donne encore une fois.
sauve-le de mon chaos, sauve-le de mon effroi.)
une rencontre, et tout disparait. Une rencontre, il ne reste plus qu’elle. plus qu’elles. Tout un monde qui disparait, tout un monde qui s’endort, ne laisse que deux femmes l’une en face de l’autre, et le myocarde qui se réveille enfin, d’un sommeil de plus de vingt ans. c’est comme si le temps s’arrêtait. Que la sirène fait son apparition. Crinière brune, crinière de reine, le regard ne sait pas se stopper, ne sait pas s’arrêter, teste l’apogée de sa splendeur en descendant sous la frange rebelle, pour aller goûter aux noisettes dans ses iris, pupilles la dévisageant, rouge apparaissant sur les joues de la blonde, tandis que la muse face à elle laisse un maigre sourire illuminer la pièce. Il y a tant de douceur, sur son visage. Il y a tant de souffrance, dans son regard. l’empoisonnée se rend, la créature céleste l’a vaincue, là, dans ce bar. Car son cœur s’est arrêté de battre, car son âme s’est arrêtée de pleurer. Le temps d’un instant, un instant éternel. Sa voix se fait entendre, enchanteresse, pour lui permettre un « pardon » quant à ses erreurs, et tamsin comprend qu’il ne peut y avoir qu’elle, trônant au milieu de ses frasques, dans son cœur encore saignant de ses mésaventures funestes. Il ne peut y avoir qu’elle, complice de son sourire, et il n’y a plus aucun doute. un cœur en émoi, qui ne résiste pas, un cœur en émoi, qui ne se bat plus, qui ne bat que pour elle. électricité dans l’air, quand elle attrape sa main, quand elle ressent son toucher, quand elle se fraye un chemin jusqu’à elle. il y a la chaleur, dans sa présence. Il y a la chaleur, dans un monde froid, dans son monde à elle, tamsin. ces flammes magiques qui grandissent, qui la font doucement fondre. Un incendie dans son palpitant, pour toujours alimenté par les prunelles de cecilia, de sa cece. si seulement elle n’avait pas osé tout détruire.
(une demande à la nuit, pour toi mon amour
perdu. que l’on puisse se retrouver un jour.)
une parenthèse des plus belles, une parenthèse de la vie. l’une échappant à la vérité aux côtés de la blonde, l’autre échappant au destin en compagnie d’une déesse. elles ne sont plus deux âmes perdues, mais une seule se perdant dans la fumée d’une nuit de printemps, admirant les étoiles, se laissant aller aux pensées les plus intimes. Et tamsin n’a qu’elle en tête. femme de son cœur, qui illumine sa vie, qui lui permet de revivre, de s’enfuir. Les chaînes qui ligotent son âme se détendent, il n’y a plus de pression, il n’y a plus qu’elle, le nuage dans le myocarde, et l’impression de s’envoler. Comme animée d’une force surhumaine, comme si les étoiles ne brillaient plus assez pour supplanter la lueur de cece, elle ne cesse de plonger son regard dans celui de la brune, ne veut plus que cette soirée se termine. Ne désire qu’elle, comme tous les soirs de sa vie depuis qu’elle la rencontrée… il n’y a plus rien d’autre qui compte, plus rien d’important. L’amour, elle ose enfin y croire. Y croire à nouveau. Elle qui avait fermé son cœur, l’a rouvert en sa présence. Le lui a donné quand elle a franchi les portes de son âme. et chaque nuit devient source inépuisable de rêves, l’imagination prenant le contrôle. Les poèmes ne sont plus aussi tourmentés, ses mots ne sont plus aussi sombres. Et chaque prose prononcée pour l’élue de son cœur apporte toujours de merveilleuses lueurs dans les iris de sa belle. c’est comme si le destin lui faisait une fleur. Comme si elles étaient en couple. mais il y a son copain, celui qui hante l’esprit de la wilson, quand elle se permet de s’imaginer avec cece. elle n’a pas le droit de lui faire cela, elle n’a pas le droit de la détruire, de saccager une si belle relation. Et pourtant. La veille de l’anniversaire de la rose(wood), elle flanche, elle craque, regard apposé sur les lippes de sa promise, elle oublie toute morale, cède à la tentation, brise son propre cœur en ressentant la douceur du baiser, suivi de la fuite de la demoiselle. Elle ne sait jamais s’en empêcher, immole toujours ses rêves, et ceux des autres…
(il y a tant de choses que je dois te dire,
mais comment te parler sans oser te mentir ?)
Il y a un trou. Un vide. Un cœur infernal, brisé à jamais. un cœur délaissé, pour toujours apeuré, les miettes de ce dernier, encore étalées au fond de son âme, et le regard triste qui vaque encore, qui cherche encore, sa silhouette, son amour. Espère encore qu’elle franchira cette porte, tandis qu’elle laisse ses pleurs étaler ses mots sur le papier, comme des confidences à cet être qui est parti, à sa rose qui s’en est allée, la laissant seule avec ses démons, seule avec son poison, seule, son palpitant déchiré. Il y a tant de choses, qu’elle veut lui dire, tant de secrets, qu’elle voudrait libérer, mais sans savoir comment les prononcer, sans savoir comment la retrouver, elle laisse ses pensées sur le papier blanc, qu’elle froisse constamment, incapable de trouver les bons mots, incapable de trouver la bonne façon, d’annoncer combien elle l’aime, combien elle est désolée, combien elle voudrait revenir en arrière, juste pour la revoir, sourire à nouveau avec elle, se perdre dans son regard. des secrets à jamais enfouis au fond d’elle-même, tandis que la corbeille se remplit, que ses écrits brûlent avec ce qu’il reste de son esprit, tandis qu’elle rend la chambre, le cœur trop lourd pour continuer d’exister là où elle était, là où tout était beau, fleuri, magnifique.
Seules restent ses lettres, à la femme de sa vie, à l’amour qu’elle n’aurait jamais cru rencontrer une seconde fois. Seules restent ses lettres, qui se consument peu à peu, avec la peine qui grandit, avec le chagrin qui s’étend, et le regard sur son téléphone lui annonce qu’elle n’en a plus pour longtemps. Un moment de faiblesse, le retour à carmel, pour en finir avec ses rêves, pour revenir vivre dans le mensonge, dans le cauchemar, attachée aux démons par les ordres infernaux, attachée aux démons pour s’oublier peu à peu. Pour s’oublier elle-même, et crever en silence, larmes roulant sur sa peau.
(innocence volée, dérobée par l'infâme,
un sourire figé pour camoufler le drame.)
il y a l’horreur, il y a la peur. Il y a cette impression que la fin est proche, et ce désir de retrouver la lame de rasoir de sa jeunesse, en cet instant, ce cauchemar qui ne cesse de l’emporter vers les ténèbres, la nuit qui se dresse, le matin qui ne viendra jamais. parce qu’elle a un ordre, et ses charmes savent faire effet. Elle sait comment le charmer, sans le vouloir. Elle sait comment le charmer, sans le désirer, tandis que son cœur pleure encore le départ de cece. elle sait jouer de son corps, elle sait jouer de ses rires, camoufler ses larmes, pour le rendre amoureux, le laisser jouir d’un effet qu’il pense faire, sans savoir que ce ne sont que des mots sans âme, que ce ne sont que des sourires perdus, que tout disparait en son esprit, qu’elle ne pense plus à rien, sauf au dégoût qui la prend lorsque ses lèvres se trouvent en compagnie des siennes. que ses dents viennent chercher sa lèvre, que son rire sonne faux, mais l’enchaine à elle. à son corps. celui qu’il ose toucher, celui qu’il ose aimer. alors que jamais le mâle ne pourra l’attirer, alors que tout son être ne pense qu’aux dames, qu’à celle qui déguerpit la veille d’un anniversaire… un toucher qui la brusque, un toucher qui la répugne. Elle a cette envie de vomir, alors qu’elle laisse le corps se dénuder. Elle a cette envie de dégueuler, alors qu’elle se retrouve en tenue d’ève, devant lui. lui, qu’elle n’aime pas, lui qu’elle n’aimera jamais. lui, avec qui elle joue la comédie, lui, qui l’allonge sur le lit. L’impression que le soleil ne se lèvera plus jamais, l’impression que la nuit restera toujours aussi noire, que tout son être disparaîtra au petit matin, lorsqu’il en aura enfin fini avec elle. et pourtant, elle garde ce sourire. Faux sourire. Elle se fait violence, pour ne plus le voir, elle se fait violence, pour imaginer que c’est elle. que c’est cecilia, au-dessus d’elle. que c’est cecilia qui lui répète qu’elle est belle. que c’est cecilia qui lui prend sa virginité, celle qu’elle cachait aux yeux du monde, qu’elle ne voulait pas afficher comme une faiblesse. Dernier écrin de pureté retiré avec vigueur, tandis que la bile finit par se répandre dans les toilettes, une fois l’acte accompli. Pour toujours, il sera son horrible première fois. Pour toujours, elle se détestera, son corps devenu antre maudite d’un sacrilège…
(sèche-moi donc tes larmes, fillette. un destin
bien plus sombre s'impatiente, t'attend demain.)
Son cœur vacille, ses larmes s’écroulent, l’oreiller ne peut supporter toute cette tristesse, tout ce chagrin, tandis que, seule au fond du lit, elle écoute le doux murmure du chagrin, la mélodie de l’horreur. Son corps n’est plus, son âme s’effrite, il n’y a plus rien, plus que cette impression, son être à jamais souillé, et les pensées qui dérivent, les rêves avec cece qui se changent en cauchemars avec lui, les songes qui deviennent plus noirs encore, plus difficiles à peser, à tenir, à supporter. Il n’y a que dans ses engins de morts, ses doses d’héroïne, et sa passion pour le tabac, qu’elle réussit à retrouver un semblant d’indifférence, un semblant d’oubli, pour ne plus se concentrer sur ce qu’elle a fait, ce qu’elle fera encore, malheureusement. Et dans ses écrits, il y a ses pleurs. Et dans ses écrits, il y a les restes de son âme, ceux qu’elle a gardé en pensant à sa belle enfuie, tandis qu’elle oublie que la damnation se porte sur la famille, sur ses cousins, plus précisément. Famille maudite, qui n’a pas été fichue d’étouffer ni son père, ni sa mère, ni ses frères, elle comprend cependant pourquoi tout brûle à son contact. Enfant non désirée, elle porte, elle, la malédiction dans le sang, et jamais l’amour ne pourra venir à elle. pire encore, si cece venait à revenir, s’approcher d’elle, elle risquerait sa vie, risquerait la mort… parce que les wilson sont sujets à l’enfer, parce que le bonheur ne sait comment les toucher, parce que leurs ancêtres ont probablement offenser les dieux, si de telles créatures existent. Et alors qu’elle gratte le papier, à cette pensée funeste, un doigt d’honneur vient assombrir sa vue, un doigt laissé au ciel, pour tout le mal qu’il lui fait. Un doigt laissé au ciel, pour abandonner toute foi. Une promesse dans son regard, celui de haïr le monde. une promesse dans son regard, celui de haïr la vie.
(les secrets bien gardés qui hantent ton cœur
viendront à bout de l'âme, créeront la rancœur.)
Comme une pute, il n’y a pas d’autres mots. Cette impression de ne plus être un simple objet, de ne servir qu’à son plaisir. Cette impression d’être vendue, de n’être qu’une marchandise. Et les jours qui défilent, les nuits qui s’empilent. Il n’y a plus de pleurs, les larmes se cachent. Elles bordent ses yeux, elles crachent sur ses cils, mais jamais n’osent sortir, ça n’en vaut pas la peine. Elles seront là demain, elles seront là dans un mois, toute l’année s’il le faut, puisque son paternel n’est pas satisfait. Il faut qu’elle le charme, jusqu’aux épousailles, il faut qu’elle détruise chaque bout de sa vie, chaque morceau de l’esprit, même ceux qu’elle cache au sein de son cœur. même ceux qu’elle garde pour l’imaginaire, lorsque les songes ne se tachent pas de noirceur. Pourtant déjà, elle se voit mariée. S’imagine en blanc, s’imagine mourir. Peut-être qu’elle devrait retenter. Une idée qui vient la prendre, une idée qui devient prenante. Il y a toujours cette baignoire, au fond de son carnet. Il y a toujours cette lame, cachée dans ses souvenirs. Il y a toujours cette peur, la lâcheté d’autrefois. Mais le jour viendra, où elle ne pourra plus s’échapper. Mais le jour viendra, où sa main portera une bague, ou de quoi mourir. Une promesse silencieuse, celle d’espérer encore. une promesse silencieuse, celle de se donner une chance. une dernière chance, d’échapper au destin. Une dernière chance, d’échapper à la vie. une dernière chance, avant de plonger dans l’eau. Avant de se brûler la peau, pour entailler ses veines. Une dernière chance à la vie. pour elle, qui quelque part, fuit des démons inconnus. Pour elle qui n’est jamais revenue, mais dont elle espère le retour. La naïveté d’un cœur amoureux, et le désespoir d’une âme défraichie. Il n’y a plus qu’à attendre, il n’y a plus qu’à saigner. Voir qui de l’espoir ou de la dépression, s’emparera d’elle.
Il n’y a plus qu’à attendre…

so are you gonna die today or make it out alive ?
Il fait froid. Un frisson verglacé qui lui court dans le dos, alors qu’elle resserre un peu plus le col de son manteau, qu’elle se demande encore ce qu’elles font dehors, en plein air, cette température d’hiver menaçant de les transformer en glaçon. Des pensées idiotes se transforment rapidement en blagues tout aussi connes, alors qu’elle ose parler, qu’elle ose rire, qu’elle se le permet, car en sa présence, rien ne peut l’arrêter, elle est invincible, elle est elle-même. tu veux me tuer, c’est ça ? la glace, tout ça… avoue, j’parie que tu attends que je me transforme en statue de glace pour aller gagner un concours de sculptage, puis me laisser couler au fond de l’océan. J’ai pas raison ? la tête qui se tourne doucement, pour sentir les derniers brins d’herbes caresser son nez, pour sentir le froid passer sur son visage, ses cheveux la couvrant tel un rideau, pour camoufler le temps d’un instant la splendeur de tamsin, la seule qui compte réellement, malgré les magnifiques étoiles parsemant le ciel. et un sourire. Un sourire merveilleux qui vient illuminer le monde, qui vient ressusciter les âmes, qui vient réparer un cœur. un sourire qui vaut tout le froid de la terre, qui réchauffe instantanément, suivi d’un rire. Un rire vrai, un rire qui sait comment faire battre le cœur de la wilson. un rire qu’elle veut entendre, durant le restant de ses jours. C’est comme un paradis. Et quand elle la regarde, elle ne voit rien d’autre. Oublie presque le froid, oublie presque la douce neige qui tombe doucement sur elles deux. Parce que quand elle est avec elle, il n’y a qu’elle. toujours. cece au sol, qui la regarde avec malice, qui sait répondre à sa plaisanterie avec une autre, qui finit par lui dire de lever les yeux au ciel, plutôt que de lancer des âneries. Parce qu’il y a une profondeur, à ces étoiles, ces points lumineux. Il y a comme une beauté nouvelle, comme un monde parallèle, quand elles regardent les milliers de petits points. Il y a une histoire, derrière chacune d’elles. Il y a cette lumière, qui vient du fond des âges, qui traverse le temps, qui illustre la vie. il y a cette lumière, qui est peut-être morte depuis longtemps, mais brille toujours de mille feux, pour elles. Pour elles, et seulement elles, dans cette parenthèse si douce, si belle. pourtant… pourtant, tamtam ne veut pas les regarder, les étoiles. Leur lueur n’est pas aussi resplendissante que la beauté qui se tient à ses côtés. Et ses joues qui rosissent devant le sourire de sa belle, et cette impression que le temps s’arrête, juste pour elle. juste pour elles. que le temps s’arrête, parce qu’elles sont ensembles… et une phrase, un doux murmure… l’entend-elle seulement ? ou ne sont-ce que des pensées qui ne parviennent pas à traverser les lèvres de la blonde, de peur de la perdre pour de bon, de faire un mauvais pas, de peur de la briser, douce femme en aimant un autre. les étoiles de tes yeux sont bien plus belles que toutes celles de la galaxie… si seulement… elle ne peut pas, ne veut pas parler. Un murmure qui se perd dans le vent, tandis qu’elle garde un grand sourire quand cece lui demande si elle a dit quelque chose. non, mon amour… je n’ai rien dit, je ne peux pas le dire… je ne peux pas te faire ça, je ne peux pas te détruire…
Si seulement…

Si seulement…

Il y a encore aujourd’hui cette atmosphère vibrante. Il y a encore aujourd’hui cette impression d’étouffer. Cette chambre qui n’en finit plus de la détruire, ce corps qui n’en finit plus de l’anéantir. Le besoin de sortir est présent, mais elle ne peut pas. cœur à jamais saccagé, âme à jamais enchainée, elle ne peut pas. la fumée de la cigarette devient écrasante, les poumons voudraient se plaindre, se taisent pour ne pas avoir à subir d’autres remontrances, d’autres poisons qui viendraient encore les abimer. Rien ne peut plus lui faire de mal, de toutes façons. Plus rien n’a de sens, le désespoir à sa porte, le désespoir qui la guette. Elle veut s’échapper, sans le pouvoir. Elle veut s’échapper, ne le doit pas. et si il se lève pour aller lui embrasser l’épaule, alors que son regard guette les étoiles en cette chaleureuse journée de mai, ce n’est que pour lui donner à nouveau cette envie de vomir. il ne le sait pas, elle le sait. Il ne le sait pas, sourit en la voyant faire de même. mais elle ne sait que mettre le faux à la place de ses larmes. Parce qu’elle ne peut pas faillir. parce que son corps frissonne encore en repensant à ce qu’il a subi. Les attouchements qui ne sont considérés que comme un acte d’amour, par un beau brun ignorant tout de la réalité. La bile arrive bientôt, elle la repousse. Ne veut pas qu’il se doute de quelque chose, et reste à la fenêtre, tandis que son cœur se brise toujours un peu plus. son regard dans les cieux, elle la cherche. Elle la cherche, sa cece, incapable de la trouver. Un chagrin à jamais présent, un chagrin qui la ronge de plus en plus. et lui touche son corps nu, glisse ses mains le long de ses fesses, pour venir lui susurrer de retourner au lit. Pour lui promettre plus d’amour encore. une étreinte, et elle souffle la fumée. La fumée qui s’envole. Si seulement elle le pouvait elle aussi. Elle la regarde s’évader, elle se voit en prison. une prison qui ne pourra jamais plus la libérer, une prison dont elle ne pourra plus s’échapper. Il y a désormais les liens qui l’unissent à lui. il y a désormais sa pureté qui lui a été retirée. Il la tient en otage, ne se doute de rien. il la tient en otage, son sourire le cache. Il la tient en otage, elle et son passé, elle et son futur.
Et elle ne veut que s’enfuir. s’il te plait, mon amour, pardonne moi. S’il te plait, mon amour, sauve-moi. Reviens-moi, et viens m’arracher à ses griffes… je n’en peux plus, ne le supporte plus. s’il te plait mon amour… tue-moi. Libère-moi. Détruis-moi, s’il le faut…
Si seulement.


pseudo/prénom victoria. pays france. tes impressions je cite encore, mais ce fofo est vraiment trop pipou. d'où tu viens? miss chloé m'a appelée, miss matti m'a installée, et voilà autre? Ceciliaaaaaa, j'arrive (a)


Dernière édition par Tamsin Wilson le Lun 11 Mai - 2:20, édité 8 fois
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Clarence Baxter
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyLun 4 Mai - 9:51

c'est bien vide tout ça a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1828167809 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1828167809
très joli de choix de pl, bienvenue à la maison a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2240700652
hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3405598329
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyLun 4 Mai - 10:20

@clarence baxter vu l’heure à laquelle j’ai posté on peut me pardonner non ? a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2240700652 XD (en réalité je dois encore voir avec mister @lyam wilson certains trucs donc je me suis dit que tant que j’avais pas toutes les infos de ma tamtam je n’allais pas remplir. mais très vite ce sera rempli, t’en fais pas ~ (et puis je veux pas faire attendre la belle @cecilia rosewood (a) ni la familia ~
en tout cas merci merci a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2998154900 je n’hésiterais pas promis ~ et d’ici cet aprem/ce soir il devrait y avoir BEAUCOUP PLUS de choses à lire. a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
au passage ce vava est juste parfait ~
ET FAUT QU’ON ME DISE COMMENT JE PEUX GAGNER UNE PETITE LOUTRE AUSSI ADORABLE DANS MON PROFIL AUSSI a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyLun 4 Mai - 11:02

hey cousine a million voices in your head that whisper, "stop, now" 938994606 la plus belle a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2661503466

je suis vraiment contente de t'avoir sur mon bébé, merci beaucoup à toi a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3085219142 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3085219142 ça me fait trop plaisir a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3354319444 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3354319444 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1054956005
a million voices in your head that whisper, "stop, now" 115519426 d'une autre vie

bienvenue à la maison, et n'hésite pas si besoin tu sais déjà où me trouver a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
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Clarence Baxter
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyLun 4 Mai - 11:10

@tamsin wilson bon on pardonne alors, puis t'es une wilson alors on pardonne doublement a million voices in your head that whisper, "stop, now" 938994606
pour la loutre, c'est les teams d'intégration et la plus belle des teams a pour emblème la loutre, avec un peu de chance tu y seras ajoutée à ta validation a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
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Cecilia Rosewood
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyLun 4 Mai - 13:48

Encore bienvenueeee ! a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190
Tellement impatiente de pouvoir lire ta fiche, et puis l'idée de faire partie des Wilson j'adore. a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3831058636
Hâte que tu (re)débarques dans la vie de Cece. a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyLun 4 Mai - 16:58

Bienvenue sur le forum !
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyLun 4 Mai - 17:33

Bienvenue jolie demoiselle ! après la team owls est aussi vraiment sympathique a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2661503466
Hâte d'en savoir un peu plus, en effet, là ça fait un peu vide a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2322416026
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Tamsin Wilson
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyMar 5 Mai - 3:06

@lyam wilson cousin a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 et toi t'es l'plus beau a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190
je suis trop contente d'être là, moi aussi. comme ça, on aura deux endroits où s'amuser a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
et oui, ne t'en fais pas, je n'hésite pas. tu as déjà eu l'occasion de le voir. a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
et j'espère que tamtam te plaira

@clarence baxter un double pardon ? a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392 je prends.
et ouais, je veux la loutre. JE VEUX LA LOUUUUUUTREUUUUUH a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2998154900 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1513925913 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2998154900 c'est trop chou les petites loutres a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190
(et en plus, t'as vu, j'ai un peu rempli !)

@cecilia rosewood ma cece à moi d'amour a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190
je suis déjà super contente de tes impressions en privés a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2374706182 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 115519426 (*die*) sur ma fiche, et j'espère que la suite te plaira aussi. et heureusement que tu aimes mon idée, parce qu'elle me fascine aussi !
et t'en fais pas, elle va (re)débarquer dans la vie de cece a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392 et peut-être même débarquer dans cece a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2695782688 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2661503466 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1343343582 (j'en peux plus de moi, parfois xD)

@harper telford merciii ^^

@kingsley singh merci, joli damoiseau je n'en doute pas, mais je préfère le dessin de la loutre. si le dessin owl était aussi cute, je dis pas, maiiiiiiis...
et tu peux désormais lire un peu plus a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190

bon, je termine ma fiche plus tard, parce que je suis trop douée pour tout faire à une heure pas possible, mais quand même xD
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Jaz Forbes
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyMar 5 Mai - 15:08

MON PETIT AMOUR
je suis contente que tu sois venue (mais tu le sais déjà)
la bienvenue parmi nous. I love you I love you
hâte qu'on fasse de belles choses encore a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2240700652
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Deran Telford
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyMar 5 Mai - 17:13

Bienvenue sur le forum ! Début de fiche super intéressant a million voices in your head that whisper, "stop, now" 990811394
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Neva Weisel
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyMar 5 Mai - 18:04

OH MY GOD.
ta plume est incroyable, tamsin est OUFISSIME, cailin est juste ultra canon et colle trop au perso, je suis déjà so in love que j'ai trop maxi hâte de lire la suite I love you
bienvenue ma belle, réserve moi un lien avec mon dc daisy <3
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Aglaé Woods
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyMar 5 Mai - 19:47

Bienvenue parmi nous ! a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2726303779
Quel excellent choix de pl ! Je plaide coupable en avance mais je vais vous stalker à fond a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
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Tamsin Wilson
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyJeu 7 Mai - 20:02

@jaz forbes OUI JE SUIS TON PETIT AMOUR a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392 *meurt*
je suis bien contente que tu m'aies ramenée sur ce fofo trop pipou d'amour a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2950867354 et oui, on va bien s'amuser. on fait toujours des supers choses, toi et moi a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190

@deran telford merci beaucoup a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2998154900 j'espère que la suite te plait tout autant. elle avance doucement haha

@neva weisel OMG a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 je ne m'attendais pas à un message aussi mignon a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 t'es trop adorable ! j'ai été lire un peu ce que tu as fait, et tu peux parler pour la plume... la tienne est juste géniale aussi a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190
en tout cas, je te réserve tous les liens que tu veux avec tous les personnages que tu veux a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2998154900
j'espère que tu aimes la suite de la fiche, toi aussi a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392

@aglaé woods merci a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 mais vous êtes trop mignons sur ce fofo a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392 et écoute, plaide donc coupable, la sentence ne sera sûrement pas la prison haha a million voices in your head that whisper, "stop, now" 3992742190 a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1462619392
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" EmptyJeu 7 Mai - 20:16

Quelle beauté a million voices in your head that whisper, "stop, now" 2726303779 Bienvenue cousine a million voices in your head that whisper, "stop, now" 1054956005

ps: je succombe à ta plume.
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MessageSujet: Re: a million voices in your head that whisper, "stop, now"   a million voices in your head that whisper, "stop, now" Empty

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