Gabriel Powell home sweet home date d'emménagement : 18/04/2020 messages envoyés : 154 pseudo/prénom : hellfire (léa) faceclaim : jake gyllenhaal (av/bambi eyes - sign/sheepirl) multinicks : rosaline bianchi (d. ridley)
| Sujet: and the rich stay rich (lilian/gabriel) Dim 10 Mai - 18:06 | |
| Gabriel se mordit la lèvre, signe de son anxiété sous-jacente. Il relisait ce dossier de partage d’héritage depuis deux heures sans vraiment que ça fasse sens pour lui. Un véritable casse-tête. Même si le dossier était difficile, il adorait ce sentiment ce difficulté. Un nouveau cas sur les bras, démêler le vrai du faux, plaider au tribunal, les arrangements à l’amiable, les arrangements qui se terminaient dans les larmes et parfois les cris. Travailler autant qu’avocat lui donnait une sensation de pouvoir qu’il chérissait énormément. Être capable de reconstruire comme de détruire la vie d’une personne. À Carmel il était loin de sa zone de confort, il avait l’habitude des cas concernant les arts : la dance, broadway, les artistes et performers.
En arrivant ici, il avait du s’habituer à plein de choses, dont accepter un poste dans un cabinet d’avocats généralistes. Gabriel avait pu faire jouer ses contacts de New York et avait trouvé assez rapidement un post d’associé avocat dans un cabinet de la ville. C’était un poste avec un moins de cas mais avec une paie non-négligeable et son propre bureau. Et avec cela il avait aussi le droit de former des juniors. Des avocats à peine sortis de l’école, qu’il aurait la possibilité de prendre sous son aile. Des jeunes piou-piou comme il s’aimait les appeler. Parmi eux se trouvait Lilian. Brillante et persévérante. C’était l’une des recrues les plus prometteuses du cabinet. Elle est aussi parfois têtue et insolente. Et lui aussi, il était partisant de l’amour vache. Ils avaient tous les deux un accord silencieux là dessus.
« Lilian, veux-tu venir s’il te plait ? » Il fit signe à sa protégée de l’autre côté du bureau de venir jusqu’à lui. Il leva les yeux vers elle, en soupirant de fatigue. « Encore une fois pourquoi ils ne veulent pas se se partager l’héritage ? Il y a bien assez pour deux.. et même sur les trois prochaines générations. » Les problème de riches. Même si sa femme était née dans ce milieu, elle était loin de ressembler aux pourris gâtés qu’il voyait dans certains de ses dossiers. Il ne comprenait pas de faire des manières pour si peu mais si, aujourd’hui c’était son gagne-pain. Et d’un autre côté, ça le faisait beaucoup rire de voir des personnes se disputaient comme des pré-adolescents pour quelques millions « Ils sont presque aussi plaintifs que toi sans café le matin » Toujours de bonne guerre.
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