bad things happen for a reason. [+18] - tamswann

you touch me, i touch you back, you kiss me, my lips are chapped. too quick to rewind it back, too sick to know where I'm at -- @swann taylor

comme un besoin, qui s’étend au travers de chacun de ses muscles, de chaque partie de son corps. comme un besoin, cette douce chaleur bien connue qui continue de divaguer, qui continue de s’enivrer des messages lus. Comme un besoin, l’averse doucement versée dans un tissu de bien bel ouvrage, un vêtement spécial pour lui donner envie, pour se donner envie, pour tout oublier. et dans cet attirail, t’es putain de canon, tamsin. Tu ne le réalises qu’une fois ce body enfilé, t’as l’impression de tenter de le charmer, encore. pourtant, c’est bien elle. c’est bien une elle, tout du moins. un sourire empli de sous-entendus, quand qu’elle relit les derniers messages, cette conversation qui devient toujours plus chaude, alors que les allusions oublient d’être subtiles, qu’il n’y a plus que le désir qui parle. un désir qui te parle, un désir qui t’emporte. Parce qu’elle n’est peut-être pas cece, mais swann a ce talent, celui de te laisser t’envoler, de couper tes chaines le temps d’un instant, pour te permettre de te faufiler contre sa peau, à la recherche de la chaleur tant désirée. une beauté brune qui l’attend, une beauté brune qui sera bientôt à sa porte, tandis qu’elle termine de se regarder dans le miroir, qu’elle met un peu de musique, se parfume doucement. tu te fais belle. pourquoi ? parce que tu ne veux pas que la flamme s’éteigne. Parce qu’elle n’est peut-être pas cece, mais tu n’es pas non plus son défunt fiancé. Vous savez que vous étiez sur le banc, vous savez ce que vous représentez l’une pour l’autre. cette sauvagerie, dans les regards. Ce toucher, qui les définit. Chaque fois qu’elles se retrouvent, il y a ce besoin de tout oublier. Chaque fois qu’elles se retrouvent, c’est dans la peau chaleureuse de la jeune paysagiste qu’elle veut s’enfouir. Dans son regard qu’elle veut se perdre. Dans ses lèvres, qu’elle veut s’emprisonner. elle est différente. Elle provoque les sensations que tu n’aurais jamais cru pouvoir éprouver. Elle provoque le plaisir, surtout. Après que ta virginité te fut prise par un homme que tu ne peux aimer, sa douceur est venue te combler. Baume sur ton antre blessée, ravagée, elle a su la réparer, te donner de la joie, te donner de l’espoir, te faire voir les couleurs qui germent dans un arc-en-ciel. alors que tu ne voyais plus que du gris. du gris maussade. Mais swann a toujours été là. il y a toujours eu cette partie d’elle qui lui venait en aide, tandis que la blonde ne savait comment la remercier, ne se contentait que de lui serrer la main, l’embrasser sur la joue, tenter de l’aider. jusqu’au jour où tout bascula, où le regard fut trop insistant, où le besoin fut trop présent, où la souffrance fut mise en avant. tu te souviens des larmes, celles qui coulaient le long de tes joues. Tu te souviens des larmes, elles n’étaient pas chagrinée, n’étaient qu’emplies de remerciements, quand elle vint te montrer que le corps, que ton corps, avait le droit de vivre, avait le droit à une seconde chance. c’est elle qui lui a dévoilé les secrets d’un bonheur éphémère, quand tout va mal. Et c’est elle qui lui a envoyée le premier message. tant de subtilité, tu devrais être poétesse pour de vrai, finalement. et dans un grand sourire, quand elle entend la porte toquer, elle vient ouvrir. Presque le plus simple appareil, juste un body camouflant quelque peu l’intimité, elle se permet de lui sauter presque au cou, tant c’est un soulagement. De la voir. Et de savoir que la frustration des messages saura se dissiper. « t’as mis longtemps ! j’avais l’impression que je ne tiendrais pas. tu sais te faire désirer. Ça va ? » longtemps. Si longtemps. Une vingtaine de minutes, à tout casser. Un temps déjà long pour qui veut se débarrasser de cette envie trop pesante. « j’espère que tu ne t’es pas trop épuisée… parce qu’on a pas fini de bouger, crois moi. » un sourire.
Ravageur.
Pour une soirée des plus parfaites. (ou est-ce le jour ? elle ne sait plus, ne voit que le visage merveilleux de sa partenaire.

(c) calaveras.

••• lust mood •••

bad things happen for a reason. @Tamsin Wilson

Sans que je ne le sente venir, toi, belle et douce Tamsin tu t'étais peu à peu installée dans mes songes les plus fous tel un poison alors que je n'avais rien cherché ni demandé. Je ne te connaissais pourtant que depuis quelques mois et au départ nos rapports se rapprochaient bien plus de l'amitié que de l’ambiguïté. Nous étions toutes deux détruites et c'était sans doute cette souffrance qui nous rapprochait tant. La détresse qu'il y avait dans ton regard m'avait frappé. J'apprends plus tard pourquoi. Que ton père est un salop qui t'a vendu à un autre homme alors que tu n'aime pas les hommes. Quel gâchis, ces crétins te gâche la vie, incapables de faire preuve d'un peu d'humanité. Je ne pouvais pas rester indifférente à ta souffrance, tu souffrais le martyr tout comme moi. Tu gardais tout au fond de toi mais moi je la voyais ta souffrance, on était comme deux petites filles sacrées à qui on nous avait enlevé tout ce qu'il y avait de plus beau et de plus pur en nous. Moi, Jon l'amour de ma vie et le fruit de notre amour, notre bébé qui s'étaient volatilisés au ciel. Toi, Tamsin, c'était ton innocence qu'on t'avait enlevé. Je n'ai pas le pouvoir de te guérir ni de te sortir de ce merdier même si j'aimerais t'aider, je ne sais pas comment faire. La seule chose que je peux faire c'est être là, être présente pour toi à chaque fois que l'appel du cœur raisonne dans mon être tout entier. Et que faire lorsque toutes ces bonnes actions se retournent contre soi-même et qu'elles prennent une tournure que je n'avais pas envisager ni même imaginer ? Comme ce soir où j'étais en train de travailler sur le projet d'un nouveau client. Il souhaitait refaire à neuf son jardin et m'avait donné carte blanche tant sur le fond que sur la forme. Dans ce cas de figure je pouvais totalement laisser libre cours à mon imagination et esquisser toutes les idées que j'avais sur le papier. Très concentrée, je commençais à esquisser un petit bassin d'eau en pierre avec des petites carpes koi nageant dedans. J'envisageais quelques arbustes fleuris rosés tout autour. Un petit endroit plus loin tout aussi fleuri, une arche emplie d'un mélange de roses noires et rouges, ma composition florale favorite. Et là sous cette magnifique arche fleurie tu apparais nue, telle mon Ève. L'appel du désir embrume tout mon esprit, je me laisse emportée par ton appel au sein de ce doux jardin d'Eden. Je t'y rejoins pour te montrer ce que tu me fais ressentir à cet instant précis. Puis peu à peu je sors de mes songes et reviens à la réalité. Je ne réfléchis pas, je ne réfléchis plus. J'attrape juste mon téléphone et je t'envoie un message juste pour te faire comprendre que je pensais à toi, que je te désirais du plus profond de mon âme. A ma grande surprise, tu répondis favorablement à ce message. Je crus comprendre que tu voulais exactement la même chose que moi, que t'avais aussi envie de cette fusion. Les messages qu'on avait continuer de s'envoyer m'émoustillaient particulièrement, rendant ainsi mon paysage pluvieux et pour que l'averse ne se déchaîne il ne manquait qu'une condition,toi, petit cœur. Nous décidions de nous retrouver chez toi. En me disant que tu avais enfilé un body noir sexy m'étant en valeur tes jolies courbes tu ne faisais que faire grimper le désir que j'avais déjà pour toi. Pour ma part je te gardais la surprise de ce que je comptais porter. Un ensemble de lingerie blanc en dentelle par dessus lequel je ne portais qu'une robe blazer verte à rayures blanches. Un petit coup de parfum boisé et le tour était joué. Impatiente, je prenais le volant en direction de ton chez-toi. Quelques instants plus tard je toquais à ta porte bien trop pressée de te revoir. Tu m'ouvrais et me sauta au cou. Je t'accueillais avec tout autant t’enthousiasme que tu me montrais et sourit à ta remarque : « fallait bien que je me fasse belle pour t'arriver à la cheville beauté » te dis-je avant que mes lèvres ne viennent chercher les tiennes puis de s'en défaire pour te répondre : « maintenant que je suis là, ça va beaucoup mieux ». Mes mains se perdirent sur la taille, mon regard se noyait dans le tien avant que les paroles ne sortent de ma bouche : « t'inquiète pas pour ça, t'as réveillé la lionne qu'il y a en moi ». Ce soir serait notre premier moment d'intimité et quelque chose me disait que ce ne serait pas le dernier.

you touch me, i touch you back, you kiss me, my lips are chapped. too quick to rewind it back, too sick to know where I'm at -- @swann taylor

Un feu… une flamme incandescente qui ne s’arrête plus de vibrer, la chaleur qui ne s’arrête plus de monter, le corps qui ne s’arrête plus de quémander. Il veut, il la veut, elle. il veut, il exprime son besoin, entre des cuisses trempées. Il veut, et elle veut aussi, tamsin. Il y a cette part d’elle qui ne désire plus que le cygne de ses pensées, la douce swann qui a su venir dans son cœur, dans son âme, qui a su la réparer, doucement. Il n’y a plus qu’elle. elle et ta douce, bien entendu. Cette femme qui te fuit, cette femme que tu ne peux qu’aimer. ton cœur souffre en son absence, tamsin, mais la taylor sait comment le réparer, le tenir entier, le charmer aussi. est-ce de l’amour ? est-ce du désir ? elle ne sait plus, ne sent que ce frisson qui lui parcourt le corps, ne sent plus rien d’autre que cette envie qui lui chatouille le ventre, et descend le long de ce dernier, tandis que dans ce vêtement, elle se sent attirante. Et quand la porte s’ouvre, ce n’est pourtant plus elle qui est attirante, mais la belle qui se trouve derrière, vient prendre ses lèvres en otage, lippes contre les siennes pour un baiser des plus tendres, des plus doux, des plus forts. Comme si le temps s’arrêtait, il n’y a plus qu’elles. Il n’y a plus que deux âmes en perdition, qui ont besoin de se trouver, qui ont besoin d’aimer. d’aimer à nouveau. Sans avoir à supporter la douleur de l’amour, sans avoir à supporter l’horreur de ce fardeau. La mort, la fuite… rien de tout ça n’existe, dans cette parenthèse au délicieux parfum boisé, qui n’est pas sans rappeler les forêts, les plus beaux des paysages naturels. Et, accrochée à son cou, adorant le contact de ses lèvres contre les siennes, il y a ce sourire, celui que tamsin n’a que si rarement, celui qu’elle retrouve au contact de swann, femme au cœur d’or qui ne cesse de vouloir le retrouver. ce sourire qui s’enflamme rapidement, un soupir de bonheur en sentant les mains de la paysagiste passer le long de ses hanches. « je crois que tu te sous-estimes, je n’ai rien d’extraordinaire, comparée à toi… » un soupir de plus, dans son cou. un soupir de plus, parce que tu aimes souffler dans son joli cou, lui faire ressentir la chaleur de ton corps avec un simple geste, tandis qu’elle entre un peu, laisse la porte se refermer, pour préserver l’intimité qui ne concerne que vous deux. « tant mieux, beauté… parce que je pourrais dire la même chose. Maintenant que tu es là, ça va beaucoup mieux… » maintenant qu’elle est là. là, contre son corps, touchant sa peau, sentant sa silhouette. tu n’as rien d’autre que le body, tu n’as rien d’autre, même pas de sous-vêtements. Tu es à nu, presque littéralement, tout comme symboliquement, face à elle. parce qu’elle ouvre ton cœur, parce qu’elle ouvre ton âme, et qu’elle va ouvrir tes cuisses. Cette femme, elle te fascine, elle te touche. Glisse ses mains contre le haut de tes cuisses, glisse son âme contre la pourriture de ton myocarde, s’empresse de faire repartir ton palpitant, tout comme de conserver ton sourire. elle est la douceur qu’il lui fallait, à la wilson. Elle est la douceur qu’elle a longtemps recherchée, la jeune tamsin. Elle est l’espoir qui reste en son sein, celui qui lutte contre son opposé bien trop souvent. Et si les messages étaient auparavant surtout présents pour remonter le moral, il y a désormais le désir, l’excitation. Et en un petit rictus, elle se transforme en chaton, devant cette belle prédatrice. « oh, une lionne, carrément ? dans ce cas, suis-je ton antilope, que tu vas chasser, que tu vas dévorer ? je crois que tu m’as déjà attrapée, cependant. Il ne te reste plus qu’à déguster… la subtilité, qui s’envole doucement, mais ne disparait jamais. parce que le besoin de séduction constitue désormais un véritable bonheur, un jeu puissant dans lequel elle avance. Chose qui la dégoûte habituellement, quand elle se doit de se laisser faire par la cruauté d’un paternel, et la répulsion d’un amant, cette joute devient une véritable joie quand ses mots se frottent à un aussi joli minois, à une femme d’une telle grandeur. seras-tu, seulement, un jour, aussi admirable qu’elle ? une question qui s’oublie, alors qu’un nouveau baiser parfait cette soirée, et que les doigts de la blonde découvrent doucement l’habit de la brune. Une robe qu’elle rêve déjà de retirer, une robe qu’elle imagine antre d’une véritable merveille, ce corps qu’elle tient entre ses mains, qui doit briller de mille feux. « tu as dit qu’il fallait savoir ce que l’on voulait… moi, c’est simple. Je te veux, swann… » comme un nouveau soupir, comme un murmure brûlant. Il n’y a plus qu’elles, plus aucun vis-à-vis, seulement deux beautés se dévisageant avec cette furieuse envie. oh, belle nuit, la plus belle d’entre toutes… elle n’attend plus que ses assauts. Lionne contre proie, elle ne veut plus penser à rien, à part à la déesse la gardant dans ses bras.

(c) calaveras.

••• lust mood •••

bad things happen for a reason. @Tamsin Wilson

you touch me, i touch you back, you kiss me, my lips are chapped. too quick to rewind it back, too sick to know where I'm at -- @swann taylor

(c) calaveras.

••• lust mood •••

bad things happen for a reason. @Tamsin Wilson

» make it happen (cam)
» last night i did things, (ft. lys)
» Jemma + I’ve been dreaming of things yet to come
» (amadëa, king) things to do before you die.